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donneront par préalable confidemment connaissance à Sa Majesté Très Chrétienne et ne résoudront rien que d'un parfait accord avec elle.“

Bon.

Federic.

Nach der eigenhändigen Aufzeichnung am Rande des Berichts. Die mit liegender Schrift gedruckten Stellen des Berichtes sind von dem Könige im Original unterstrichen.


5245. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.

Podewils überreicht, Berlin 18. December, einen von Tyrconnell mitgetheilten Auszug aus Erlassen des Marquis Saint-Contest. Votre Majesté y verra aussi que le premier terme de subsides de Baireuth1 est payé, tout comme on veut faire la galanterie à Son Altesse Sérénissime Monseigneur le duc de Brunswick-Wolfenbüttel de lui payer pendant son séjour d'ici,2 dans le courant de ce mois encore, le terme qui n'était échu qu'au mois de janvier . . . Quant à l'affaire de Knyphausen, la cour de France n'a pas encore été informée, au départ du courrier, du tempérament que Votre Majesté a fait proposer en dernier lieu.“3

In Betreff Schwedens heisst es in dem von Tyrconnell mitgetheilten Auszuge: „. . . Nous espérons que les bons conseils que le roi de Prusse a donnés à la Reine, sa sœur, achèveront de réunir entièrement Leurs Majestés Suédoises avec le Sénat et la nation, ce que le Roi [de France] souhaite très sincèrement pour leur propre intérêt, Sa Majesté étant très éloignée de l'idée que lui ont prêtée ses ennemis de vouloir augmenter le pouvoir du Sénat de Suède au préjudice de celui du Roi, et l'on a toujours ordonné à M. le marquis d'Havrincourt de ne travailler qu'à l'union du Roi et du Sénat, sans se mêler d'aucune autre affaire.“

Berlin, 19. December 1751.

Se. Königl. Majestät haben auf einliegende Vorstellung zur mündlichen auergnädigsten Resolution ertheilt:

Dass was dasjenige anlange, was wegen der Subsides gemeldet worden, Se. Königl. Majestät sehr zufrieden davon wären, und weilen Sie solches wüssten, Sie dem Herzog von Braunschweig sogleich den Termin avanciren, und weil der Wechsel doch im nächstkommenden Januarii anlangen würde, solchen alsdenn durch den Splitgerber einziehen lassen wollten.

Wegen der dänischen Sachen hätten Se. Königl. Majestät einmal die Regulirung derselben dem französischen Hofe überlassen; es könnte aber Mylord Tyrconnell gesagt werden, dass die Dänen vermuthlich gute Conditiones annehmen würden, nachdem ihre Négociation mit Russland zurückgegangen, und man also nicht brauche ihnen gar zu viel gute Worte zu geben.

Wegen der schwedischen Sachen wäre Tyrconnell zu sagen, dass wir unsererseits alles thäten, um die Gemüther zu tranquillisiren, aber es auch nöthig sein dörfte, dass Havrincourt Ordres bekäme, keine weitere Aigreur zu machen (sondern dass es vielmehr von beiden Theilen, wie bisher wohl geschehen sein dörfte, zu weit zu gehen),4 vielmehr überall Wasser in das Feuer zu giessen, indem Se. Königl. Majestät



1 Vergl. S. 430.

2 Vergl. S. 530.

3 Vergl. S. 488.

4 Sic.