4557. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFEAIREN.

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Podewils und Finckenstein berichten, Bertin 12. October, über die Unmöglichkeit, im Churfürstencollegium die Mehrheit der Stimmen gegen die Pläne des wiener Hofes zu gewinnen, und über die Möglichkeit das dem wiener Hofe weniger günstig gestimmte Fürstencollegium in der Wahlfrage des römischen Königs in Thätigkeit zu setzen. „Le collège des Princes a toujours prétendu devoir être admis à la

Potsdam, 13. October 1750.

Recht sehr gut; wenn sie es dergestalt arrangiren und dahin bringen können werden, wird es Mir sehr angenehm.

décision de la question an... Il est vrai que leurs demandes n'ont jamais été écoutées, mais c'est en partie parcequ'ils s'y sont toujours pris trop tard...Il faudrait donc, pour rendre ces demandes plus efficaces, que les anciennes maisons des Princes profitassent du marnent présent, et que, sans attendre que l'électeur de Mayence ait convoqué les Électeurs,106-1 ils fissent valoir leurs droits.“

Als geeignete Persönlichkeit bei den altfürstlichen Höfen von Württemberg, Cassel, Baireuth und Gotha die erforderlichen Insinuationen zu vermitteln, bringen Podewils und Finckenstein den ehemaligen württembergischen Minister von Keller in Vorschlag.

„Le baron de Rosenkrantz nous ayant demandé des éclaircissements sur la sauvegarde que Votre Majesté a accordée à la comtesse de Bentinck pour la seigneurie de Knyphausen,106-2 nous lui en avons donné de si bonnes raisons qu'il a paru y acquiescer et promis d'en faire un rapport favorable à sa cour. Cependant le comte de Tyrconnell vient de nous avertir que non seulement le baron de Rosenkrantz lui avait fait des doléances sur les procédés de Votre Majesté vis-à-vis de sa cour dans cette affaire, mais que lui, Tyrconnell, avait remarqué, de plus, que d'autres ministres étrangers saisissaient cette occassion pour aigrir les choses : entre antres, le comte de Puebla avait insinué an baron de Rosenkrantz qu'on voyait par cet échantillon combien Votte Majesté était portée à abuser des forces qu'Elle avait en main, pour empiéter sur les droits et les États de Ses voisins.“

Die Minister bringen die Mittheilung einer Darlegung dieser Angelegenheit an Tyrconnell und Chambrier in Antrag.

Recht gut. Sie werden sich aber auch erinnern, dass Frankreich selbst deshalb an Mich geschrieben hat in ihrer106-3 Faveur.

Mündliche Resolutionen. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.



106-1 Vergl. S. 91.

106-2 Vergl. S. 70. 71.

106-3 Der Gräfin Bentinck.