4686. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.

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Podewils und Finckenstein berichten, Berlin 16. December, über die Differenzen mit Dänemark in der Bentinck'schen Angelegenheit, 193-2 indem sie sich für ihr Ver-

Berlin, 17. December 1750.

Sie haben Mich in eine Sache embarquiret, die Mir sehr unange-

fahren in dieser Frage auf die früher allerhöchsten Orts geltend gemachten Motive194-1 beziehen. Da sich der dänische Hof den juristischen Argumenten verschliesse, hätten sie dort durch den französischen Gesandten Lermaire zwei Wege zu gütlichem Ausgleich vorschlagen lassen:

1° Que la cour de cour de Danemark décline à Vienne la commission qui lui a été injustement adjugée, comme cela se pratique tous les jours dans l'Empire en pareil cas.

Mais comme ce tempérament pourrait n'être pas du goût de la susdite cour, nous avons fait proposer

2° Que le roi de Danemark consente à laisser tomber toute l'affaire et à lever même le séquestre de Varel, si la comtesse de Bentinck se trouve en état, au moyen d'un négoce d'argent, de payer les dettes qui ont occasionné tout ce procès.

Dans l'un et l'autre cas, nous avons déclaré que Votre Majesté retirerait sur le champ la sauve-garde qui est actuellement à Knyphausen.

Nous attendons la réponse de la cour de Danemark sur ces deux propositions; mais comme l'intérêt caché qui l'a fait agir, nous fait craindre qu'elles ne soient rejetées, nous avons songé à un troisième expédient, qui serait que Votre Majesté remît la décision de cette affaire à l'arbitrage de la cour de France, à qui le Danemark s'est déjà adressé de son côté.“

nehm. Die Dänen seind darüber sehr piquiret. Zuletzt wird es am besten sein, ein Accommodement durch Interposition von Frankreich zu treffen.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.



193-2 Vergl. Nr. 4681 S. 190.

194-1 Vergl. S. 67—71.