5074. AU CONSEILLER PRIVÉ DE GUERRE DE KLINGGRÆFFEN A VIENNE.
Breslau, 31 août 1751.
Vos deux rapports du 21 et du 25 août me sont bien entrés. Quoiqu'il soit fâcheux que l'ambassadeur de France se laisse aveugler de gens qu'il devrait connaître, vous n'en devez néanmoins pas être fort embarrassé, vu que l'Ambassadeur ne constitue pas le ministère de France, et que celui-ci, trop bien instruit des menées et pratiques sourdes<442> des cours de Vienne et de Londres, ne se dirigera nullement sur les inspirations de l'Ambassadeur, sa façon de penser sur cet objet étant bien différente de celle dudit Ambassadeur.
Federic.
Nach dem Concept.