5120. AU DUC RÉGNANT DE WÜRTEMBERG A STUTTGART.
Potsdam, 9 octobre 1751.
Monsieur mon Cousin. J'ai reçu la lettre que Votre Altesse Sérénissime m'a bien voulu écrire du 30 passé. Sincèrement affecté des bonnes raisons qu'Elle me détaille sur l'affaire qui en fait le sujet, j'ai donné mes ordres à milord maréchal d'Écosse, mon ministre à Paris, afin qu'il doive s'expliquer là-dessus avec les ministres de France conformément aux intentions de Votre Altesse Sérénissme, et je serai charmé, si mon appui Lui est avantageux. Je n'attendrai que la réponse que j'en aurai pour L'en informer en suite, étant d'ailleurs avec l'estime la plus parfaite, Monsieur mon Cousin, de Votre Altesse Sérénissime le bon et affectionné cousin
Federic.
Nach dem Concept.