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5265. AU CHAMBELLAN D'AMMON A PARIS.

Berlin, 1er janvier 1752.

J'ai reçu vos rapports du 16 et du 19 du mois passé, par lesquels j'ai vu avec satisfaction que vos dernières conférences avec le sieur de Trudaine ont eu plus de succès que les précédentes. J'espère que cela continuera de la façon que je pourrai voir bientôt une fin heureuse de votre commission,1 et m'en flatte d'autant plus que milord Tyrconnell vient de m'assurer de la part de sa cour qu'elle ordonnera au sieur de Trudaine de mettre toute son application à finir promptement avec vous. Au surplus, vous pouvez bien lui dire tout naturellement de ma part, quoique d'une manière à n'en pas choquer sa vanité, que, comme il y avait presqu'une année passée que votre négociation n'avait pu finir, malgré les assurances que sa cour m'avait données, quand elle me proposa d'envoyer quelqu'un de ma part pour convenir sur notre traité de commerce à faire, auquel elle mettrait toute la facilité pour finir promptement, j'espérais qu'il voudrait bien employer ses soins à ce que cette affaire parvienne à sa perfection, afin que je lui en sache être redevable. Je laisse à votre discrétion si vous jugerez convenable de lire à lui-même ce passage de ma présente dépêche qui le regarde.

Federic.

Nach dem Concept.


5266. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.

Podewils überreicht, Berlin 4. Januar, einen durch Lord Tyrconnell mitgetheilten Auszug aus Depeschen des französischen Botschafters in Stockholm.

„Il me fit entendre qu'il espérait que je n'en rapporterais à Votre Majesté que ce que je croyais ne pouvoir pas déplaire à Votre Majesté, des réflexions peut-être trop hasardées de M. d'Havrincourt. Mais j'ai cru être de mon devoir d'envoyer à Votre Majesté la pièce tout entière.“ 2

Berlin, 4. Januar 1752.

Er möchte an Mylord Tyrconnell nur sagen, wie man aus denen Sachen sähe, dass viele Prévention bei dem französischen Minister wäre.3 Alle Chicanes, so bisher auf dem Reichstage vorgefallen, zeigen nur kleine Bisbilles und Explicationes über dieses und



1 Vergl. Bd. VIII, 264. 562.

2 Der dem französischen Gesandten auf sein Verlangen zurückgestellte Auszug aus den Depeschen Havrincourt's liegt nicht vor.

3 Vergl. Bd. VIII, 565.