5549. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.
Podewils überreicht, Berlin 30. Juli, die durch La Touche mitgetheilte Abschrift eines Schreibens von Vergennes, Hannover 26. Juli, welches meldet: „Nous avons copie des instructions données pour M. de Haslang, elles ne sauraient être plus satisfaisantes. Il lui est enjoint d'insister sur la satisfaction de l'Electeur palatin et de ne se prêter à rien avant qu'elle ne soit assurée. Mais pour plus grande sûreté, il lui est prescrit de ne signer aucun acte ou convention sans en demander l'ordre à Munich, à moins qu'il n'ait un consentement par écrit de M. de Wrede.“ Podewils bemerkt dazu: „Je ne sais si on pourra compter beaucoup sur la fermeté de la cour de Bavière.“ | Potsdam, 31. Juli 1752. Ich komme morgen Selber nach Berlin. Was die Sache vom Churfürst von Baiern anlanget, da habe Ich eben kein gross Vertrauen zu denen Efforts, so er thun wird. Er ist von den gegenseitigen Höfen gewonnen und alles, was um ihn ist, bestochen, Haslang aber ein Pensionnaire von Engelland, und also habe Ich grosse Mühe zu glauben, dass Baiern was rechts thun wird. |
Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.
5550. AU CONSEILLER PRIVÉ DE GUERRE DE KLINGGRÆFFEN A VIENNE.
[Potsdam, 1er août 1752.]
J'ai reçu votre rapport du 22 de ce mois et vous renvoie sur les éclaircissements qui me sont parvenus depuis peu de bonnes mains d'Hanovre au sujet de l'affaire de l'élection, et que j'ai ordonné à mon ministère de vous communiquer tout en détail, en conséquence desquels je crois avoir tout lieu de présumer que, vu le peu d'accord qu'il y a actuellement entre les cours de Vienne et d'Hanovre, l'affaire pourra bien traîner encore pendant le cours de cette année-ci, et peut-être plus loin encore.
Au reste, vous prêterez votre attention sur les nouvelles de Constantinople pour m'en instruire exactement, car quelque indifférence que la cour où vous êtes fasse paraître là-dessus, je connais cependant toutes les raisons pourquoi un évènement tel que le changement qui est arrivé,1 la doit toujours embarrasser.
Voici la réponse à la lettre de la comtesse de Minquella que vous m'avez envoyée.
Federic.
Nach dem Concept. Das Datum ergiebt sich aus Klinggräffen's Bericht, Wien 9. August.
1 Vergl. S. 196.