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Berlin nach Cassel übermittelten französischen Entwurf eines preussisch-hessischen Subsidienvertrages.1 „Sans entrer dans aucune discussion ultérieure du projet en question, on rompt tout le marché et déclare que le Landgrave, prenant les conditions dures de la France pour un refus de la part de cette couronne, aime mieux rester comme il est et laisser tomber toute la négociation, que de conclure sur le pied proposé. Tant de fierté tout d'un coup, après la grande docilité avec laquelle on avait accepté déjà à Cassel le subside de paix de 150,000 écus par an, que la France aurait augmenté de 30,000 écus si l'on y avait insisté,2 ferait presque soupçonner que l'Angleterre leur a fait des offres secrètes plus fortes que celles de la France.“

ciren und ihm dabei sagen, dass Ich ihm überliesse, ob er sein Ultimatum dem casselschen Hofe noch proponiren oder wie er es sonsten darunter halten wollte. Wenn es aber Meine Sache wäre, so würde Ich nichts weiter offeriren, denn es Mir sehr verdächtig vorkommet, dass, da der hessische Hof sonst in dieser Sache pliable geschienen, derselbe jetzo auf einmal rompiren wollte, ohnerachtet es ihnen doch an Gelde zu Unterhaltung ihrer Truppen fehlete; welches Mir den Soupçon machet, dass gedachter Hof mit den Engelländern oder Hannoveranern in Handel stehe und dass mithin es indecent sein dörfte, weitere Offres nach Cassel zu thun, wenn der Hof schon seine Partie genommen und sich anderweitig engagiret hat. Doch überliesse Ich lediglich an M. de La Touche, darunter zu thun, was er gut fände. An Mylord Maréchal würde hiernächst das nöthige zu communiciren sein.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.


5746. AU SECRÉTAIRE VON DER HELLEN A LA HAYE.

Hellen berichtet, Haag 16. Januar: On est assez alarmé ici d'une nouvelle que les États-Généraux doivent avoir reçue de Grœningue, que Votre Majesté ferait marcher en Ostfrise un corps de 5.000 hommes et que les quartiers y étaient déjà indiqués actuellement. Il court encore un autre bruit que Votre Majesté avait résolu de soutenir les droits du duc de Mecklembourg-Schwerin contre prétentions de la duchesse douairière de Strelitz, établie tutrice et régente par le testament, qui s'était adressé à la cour de Vienne, et de prêter au Duc les sommes nécessaires pour dégager les bailliages hypothéqués à Hanovre.3 On suppose que la maison d'Hanovre ne sera

Berlin, 23 janvier 1753.

J'ai été étonné au possible d'apprendre par votre rapport du 16 de ce mois qu'on ne saurait encore revenir en Hollande des nouvelles ridicules et tout-à-fait sottes concernant un corps de troupes à envoyer en Ostfrise et l'affaire de Mecklembourg en question.

Il est d'autant plus surprenant qu'on ajoute quelque croyance et qu'on s'alarme même sur ces sortes de nouvelles, l'expérience qu'on a



1 Vergl. S. 248. Wie Braunschweig und Baireuth (vergl. Bd. VIII, 207. 430) sollte auch Hessen-Cassel den Subsidienvertrag nicht direct mit Frankreich, sondern mit Preussen schliessen, welches in der Höhe der auszuzahlenden Subsidien durch Frankreich entschädigt werden sollte.

2 Vergl. S 195 Anm. 4.

3 Vergl. S. 60.