la cour de France; qu'on voyait bien que l'Angleterre ne voudrait pas faire les premières propositions, ni Votre Majesté non plus, et qu'ainsi on avait songé à cet expédient.“ … „Il nous semble qu'un accommodement par commissaires serait sujet à des longueurs et à des discussions sans fin. La clause du payement, avant que l'affaire soit décidée, nous paraît surtout fort captieuse, puisqu'elle mettrait tout le désavantage de la négociation du côté de Votre Majesté, et qu'en Lui ôtant le seul moyen de mettre les Anglais à la raison, elle rendrait vraisemblablement ces derniers plus fiers et plus intraitables que jamais. Il nous semble qu'il vaudrait quasi mieux de remettre la décision de tout ce différend à l'arbitrage de la cour de France, puisqu'aussi bien elle est intéressée à soutenir les principes de Votre Majesté contre la nation anglaise. Cet expédient nous paraît du moins également honorable pour la France et plus avantageux pour Votre Majesté.“ | gegen Frankreich wohl dergestalt im Vertrauen äussern wollten, dass woferne die Mediation und Arbitrage dadurch facilitiret werden könnte, dass die Engelländer denen Unterthanen Sr. Königl. Majestät, welche durch die Déprédations gelitten, nicht sowohl eine publique Satisfaction gäben, als vielmehr in der Stille contentireten, Höchstgedachte Se. Königl. Majestät auch darunter wohl nachsehen und auf keine publique Satisfaction bestehen wollten, wenn sonst nur Dero Unterthanen wegen ihres Liquidi gewiss befriediget, und sonst nichts placidiret würde, was wider Höchstderoselben Ehre, Gloire und Dignité wäre. Wie dann übrigens des Königs Majestät Sich versicherten, dass Frankreich hiervon keinen anderen als recht guten Gebrauch machen werde. Eichel. |
Nach der Ausfertigung.
5911. AU CONSEILLER PRIVÉ DE LÉGATION DE ROHD A STOCKHOLM.
Rohd berichtet, Stockholm 18. Mai: „Les dernières lettres de Moscou annoncent un changement ou, suivant le baron Hœpken, une disgrâce arrivée au général Apraxin; l'Impératrice a trouvé bon de disposer de l'importante charge de commissaire général en faveur d'un autre, et, pour consoler le sieur d'Apraxin, de le nommer général en chef du corps russe qui se trouve actuellement dans l'Ukraine. Le poste de commissaire général étant censé un des plus revenants, et de confiance en même temps, le baron Hœpken en veut conclure que le transport du général Apraxin à l'armée d'Ukraine n'est qu'une disgrâce palliée qui par contre-coup retombe sur le comte Bestushew, avec lequel l'autre a été lié intimement et dont il est le bras droit.“ | Potsdam, 30 mai 1753. Je n'ai rien d'autre à vous dire en réponse à votre rapport du 18 de ce mois sinon que l'avis qui m'est entré directement de Russie au sujet du changement fait avec le général Apraxin, est précisément le même que celui que vous m'avez fait parvenir à cet égard par votre susalléguée dépêche. Federic. |
Nach dem Concept.