5369. AU CONSEILLER PRIVÉ DE LÉGATION DE ROHD A STOCKHOLM.
Potsdam, 11 mars 1752.
J'ai été fâché d'apprendre par votre rapport du 28 dernier que la bonne intention du Comité Secret, en tâchant de ramener la concorde<61> entre les deux partis, n'a point eu succès. Je suis cependant ni plus ni moins du sentiment qu'il faut de toute nécessité que les esprits se réunissent, qu'ils cèdent quelque chose chacun de son côté, et qu'ils pensent qu'il y va du salut de la Suède de ne faire qu'un corps. Au reste, tant que le Plenum s'amusera avec des misères telles que de régler le rang des sous-lieutenants à l'égard des lieutenants aux gardes, les puissances voisines n'en auront guère grande opinion.
Federic.
Nach dem Concept.