5548. AU PRINCE FERDINAND DE BRUNSWICK A POTSDAM.

Prinz Ferdinand von Braunschweig berichtet, Potsdam 30. Juli: „Je n'ai pas voulu tarder de communiquer sur le champ à Votre Majesté ce que le Duc, mon frère, vient de me marquer au sujet du mariage en question.181-3 C'est conçu en ces termes : «  Par rapport au mariage en question, il y a eu une nouvelle scène. Les frères Münchhausen paraissent s'en vouloir mêler. L'aîné qui est connu ici sous le nom de grand-sénechal ou Grossvoigt, en a même écrit de telle façon que la lettre me devait être montrée. Il n'y est question de ma fille, et point du tout du fils, et je commence à croire qu'on m'a connu assez pour être persuadé que je ne marierais pas si tôt le fils et que je n'acheterais pas à ce prix l'établissement de ma fille. »“

[Potsdam, juillet 1752].

Monsieur mon Cousin. Je vous remercie de bien bon cœur de votre attention à me communiquer ce que M. le Duc, votre frère, vous mande, au sujet du bon pli que l'affaire en question commence à prendre. Faites-en, je vous prie, mon compliment à M. le Duc et n'oubliez pas, je vous prie, d'assurer également à ma chère nièce combien je fais de vœux pour tout ce qui regarde son bonheur. Je suis etc.

Federic.

Nach dem Concept.

<182>

181-3 Vergl. S. 175.