5720. AU GRAND-TRÉSORIER DE LA COURONNE DE POLOGNE COMTE SIEDLENICKI.
Berlin, 4 janvier 1753.299-2
Monsieur le Grand-Trésorier de la Couronne. J'ai été fort sensible aux marques d'amitié que vous avez bien voulu me donner par la facilité avec laquelle vous vous êtes prêté à l'expédition des passeports que je vous avais demandés pour quelques de mes officiers chargés de la commission d'acheter en Ukraine des chevaux de remonte pour ma cavalerie légère.
Vous pouvez être persuadé que je vous en ai beaucoup d'obligation et que je saisirai avec plaisir les occasions qui se présenteront pour vous convaincre des sentiments d'estime que j'ai pour vous. Et sur ce, je prie Dieu etc.
Federic.
Nach dem Concept.
<300>299-2 Vergl. S. 292 Anrn. Ein von dem Könige bereits vollzogenes Schreiben an Siedienicki, d. d. Berlin 29. December 1752, das u. A. die Wendung enthielt: „Le tableau qu'il [Maltzahn] m'a fait de votre façon de penser à mon égard et du soin que vous avez pris jusqu'ici pour le maintien d'une étroite intelligence entre moi et le royaume de Pologne“ stellte Maltzahn noch in Berlin am 4. Januar dem Grafen Podewils mit dem Anheimgeben zurück, die Ersetzung desselben durch ein in allgemeineren Ausdrücken gefasstes Schreiben veranlassen zu wollen: „Le tableau que j'ai toujours fait de sa façon de penser, ne saurait lui être avantageux: c'est un homme entièrement dévoué à la maison d'Autriche, avec lequel je n'ai aucune liaison.“