<17> recevoir, mon cher frère, La Touche et Glaubitz ; ces gens verront une plaine auprès de Spandau et rien de plus. Il y a peu d'officiers qui se donnent toutes les peines qu'il faut pour examiner le détail d'un terrain; La Touche n'a pas assez de lumières pour cela, et Glaubitz ira pour lui tenir compagnie. Je suis avec une parfaite amitié, mon très cher frère, votre fidèle frère et serviteur

Federic.

Nach der Ausfertigung. Eigenhändig.


5963. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.

Podewils und Finckenstein überreichen, Berlin 16. Juli, ein Schreiben des Churfürsten von der Pfalz, d. d. Schwetzingen 9. Juli, mit den Protokollen über seine Ausgleichsverhandlungen mit dem wiener Hofe. „L´Électeur, après avoir reconnu dans les termes les plus expressifs qu'il était uniquement redevable à Votre Majesté de la facilité que la cour de Vienne marquait de finir une bonne fois avec lui, proteste qu'il ne fera aucune démarche ultérieure à cet égard que de concert avec ses alliés : que, pour cet effet, il avait déjà envoyé le même détail aux cours de Versailles et de Bonn … II paraît en effet, par les rapports du baron de Beckers, que l'attente de l'Électeur n'est pas mal fondée, quoique nous ne puissions nous dispenser d'observer à Votre Majesté que le projet de la convention que ce ministre a proposé à la cour de Vienne1 et qu'il croît qu'elle pourra accepter, diffère en divers points d'avec celui qui a été concerté avec le baron de Wrede à Paris,2 particulièrement en ce que le concours de tous les Électeurs n'y est stipulé que comme une promesse volontaire de la cour de Vienne et fort en passant, dans l'article 7, et non pas comme une condition absolument nécessaire et avec tant de force et de précision que dans le premier article du projet arrêté en France.“

Potsdam, 17. Juli 1753.

Die Communication mit beiden Höfen ist recht gut, aber mit der Capitulation bin Ich nicht eines, denn Mein Ceremoniel bei der Hommage oder Lehnsempfängniss ist keine Innovation, sondern schon zu des letztverstorbenen Kaisers Zeiten reguliret, überdem aber in dem Dresdenschen Friedensschluss stipuliret worden, dass es dabei sein Verbleiben hat.3

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.



1 Vergl. Bd. IX, 420.

2 Vergl. Bd. IX, 384.

3 Vergl. Bd. I, 344; V, 17. 82; VII, 130; VIII, II. 563; IX, 7. Die Minister berichten auf die Königliche Resolution unter dem 18. Juli: „Que le cérémoniel des investitures impériales n'entre en aucune façon dans la négociation sur la future capitulation et qu'il n'en a pas été fait la moindre mention ni dans les deux dernières capitulations ni dans les précédentes.“