7331. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.

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Podewils und Finckenstein überreichen, Berlin 5. März, ein Schreiben des Markgrafen von Ansbach [d. d. Onolzbach, 18. Februar]: „à la suite de laquelle il communique [à Votre Majesté] non seulement la copie du traité de sub-

Potsdam, 6. März 1756.

Das seind alles Défaites, so Mich nicht contentiren; nach denen Familien-Pactis hätte es sich gebühret, Mir von dem Tractat, ehe

sides conclu à Hanovre dans le mois de septembre « de l'année passé,175-1 mais il fait aussi ses excuses sur ce retardement, ajoutant qu'il en aurait fait sans doute plus tôt la communication, si d*un côté Sa Majesté Britannique n'avait point souhaité que l'affaire restât secrète, pour ne point irriter la France, et que d'un autre côté le Margrave, ayant eu quelque ouverture de la première insinuation faite l'été passé par milord Holdernesse à Brunswick sur le grand objet du traité de neutralité que Votre Majesté vient de conclure avec Sa Majesté Britannique, avait cru pouvoir accepter d'autant plus les propositions qui lui furent faites de la part de la cour d'Hanovre d'un traité de subsides, dont le contenu faisait voir que le Margrave n'était nullement entré en des liaisons contraires aux vues et aux intérêts de Votre Majesté … Il dépend donc du bon plaisir de Votre Majesté si Elle veut bien pardonner au Margrave ce retardement … et lui accorder de nouveau Sa protection et Son assistance, surtout à la cour palatine, pour faciliter un accommodement dans l'affaire de la succession dans le comté de Sayn … pour procurer une possession paisible de ladite comté à la maison des margraves d'Anspach. »

er geschlossen worden, Nachricht zu geben,175-2 solches aber ist weder vor- noch nachher geschehen. Zu der Zeit, da dieser Tractat gemachet worden, hat weder Milord Holdernesse noch sonst jemand gegen Mich von einiger Neutralité und deshalb zu schliessender Convention etwas erwähnen, noch daran denken können, und wenn je dermalen etwas von dergleichen Absichten dem Markgrafen bekannt geworden, so wäre es um so freundvetterlicher und denen Familien-Pacten conform gewesen, wenn er Mir davon vertraute Nachricht gegeben. Ich kann also, da Ich von ihm so negligiret worden bin, Mich auch jetzo seiner Sachen nicht annehmen.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.



175-1 Vergl. Bd. XI, 472.

175-2 Vergl. Bd. XI, 391.