<291> épuisé toutes les voies de conciliation jusqu'à rendre l'Impératrice-Reine l'arbitre de la paix et de la guerre, elle ne s'écarte à cette heure de sa modération ordinaire qu'à cause qu'elle cesse d'être une vertu, lorsqu'il s'agit de défendre son honneur, son indépendance, sa patrie et sa couronne.


Nach der eigenhändigen zweiten Redaction.


7924. AU CONSEILLER PRIVÉ DE GUERRE EICHEL A POTSDAM.

[Potsdam, août 1756.]

Communiquer en France1 la réponse de la cour de Vienne avec les notes2 et les raisons qui nous obligent d'aller en Saxe, — et en Angleterre.3

Federic.

Eigenhändig.


7925. AU PRINCE FERDINAND DE PRUSSE A BRANDEBOURG.

[Potsdam, août 1756.]

Vous pouvez, mon cher Frère, ouvrir demain après - midi votre ordre cacheté et suivre tout ce qu'il contient; car la guerre ne peut plus s'éviter et il faut que les coups d'épée réduisent nos ennemis à la raison. Je vous embrasse de tout mon cœur.

Federic.

Nach der Ausfertigung in dorso eines prinzlichen Schreibens vom 26. August im Königl. Hausarchiv zu Berlin. Eigenhändig.


7926. AN DEN GEHEIMEN KRIEGSRATH EICHEL IN POTSDAM.

[Potsdam, August 1756.]

Er [Michell] möchte dorten vorstellen,4 ob es nicht gut wäre, um mit dem Herzog von Braunschweig den Tractat zu schliessen,5 dass der Mitchell aus Berlin unter Prätext, nach Hannover eine Tour zu thun, auf einige Tage dahin ging.

Friderich.

Eigenhändig.


7927. AU SECRÉTAIRE MICHELL A LONDRES.

Potsdam, 27 août 1756.

J'ai reçu votre dépêche du 13 de ce mois. Le dernier courrier du sieur de Klinggræffen m'a enfin apporté hier la réponse de l'Impé-



1 Vergl. Nr. 7928.

2 Vergl. Nr. 7923.

3 Vergl. Nr. 7927.

4 Vergl. Nr. 7927 S. 293.

5 Vergl. Nr. 7891 S. 260.