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Struppen, 18 octobre 1756.

Monsieur mon Cousin. Votre Altesse Royale voudra être persuadée que je chérirai toujours toutes les occasions où je pourrai Lui prouver mes sentiments d'estime, et où je saurai condescendre à ce qui Lui pourra faire plaisir; mais, dans le moment présent, je me vois obligé de Lui dire que, la capitulation par rapport à tout ce qui regarde les troupes, ayant été faite avec le maréchal comte de Rutowski, je ne saurais me départir des points dont on est convenu du gré et de l'agrément de Sa Majesté le roi de Pologne, dans le temps que l'on les met en exécution.

Votre Altesse Royale me fera d'ailleurs justice, en se persuadant de la satisfaction particulière que je ressentirai toutes les fois que les occasions se présenteront de Lui faire plaisir, étant, au reste, avec la considération et l'estime la plus particulière etc.

Federic.

Nach dem Concept.


8234. AN DEN ETATSMINISTER VON SCHLABRENDORFF IN BRESLAU.

Hauptquartier Struppen, 18. October 1756.

Mein lieber Geheimer Etatsminister von Schlabrendorff. Da des Königs von Polen Majestät nächstens nebst Dero Königlichen Familie und Suite von hier aus nacher Polen und Warschau gehen werden, auch Mich deshalb requiriren lassen, die dazu erforderliche Relais auf denen Postämtern durch Schlesien, und zwar auf der Route nach Gross-Polen über Crossen und Züllichau, per Station à 161 Pferde mit 21 Wagen und 32 Pferde zum Reiten, und vor Dero übrigen Suite über Breslau, per Station 58 Pferde mit ro Wagen, zu beordern, so habe Ich Dero Verlangen darunter nicht anders wie stattgeben können, auch desfalls bereits die offene Ordres für beide Routen ausfertigen lassen, Euch aber solches zur Nachricht und weitern Besorgung bekannt machen wollen.

Wann auch gedachten Königs in Polen Majestät bei Gelegenheit solcher Reise noch 500 königliche Marstall- und Cavalierpferde über Gross-Polen transportiren lassen, so ist Denenselben von Mir der angesuchte Freipass gleichfalls bewilligt worden, so Euch zugleich nachrichtlich bekannt gemacht wird.

Friderich.

Nach Abschrift der Cabinetskanzlei.


8235. AU PRINCE DE PRUSSE AU CAMP DE LOBOSITZ.

[Struppen,] 18 [octobre 1756].

Mon cher Frère. Les blessés d'Aussig et nos prisonniers devraient être échangés, il y a longtemps. Ceux d'Aussig, il faut proposer