<185> Kriegesgebrauch sei, gefangene feindliche Officiers durch die Quartiere frei reisen zu lassen. Und da überdem die Auswechselung beiderseitiger Gefangenen nächst bevorstehe1 und bald geschehen würde, so würden alsdenn des Königs Majestät dahin sehen, damit der Prinz einer von den ersten mit wäre, und also der Fürst dessen Ueberkunft bis dahin Anstand gönnen.

Weisungen für den expedirenden Cabinetssecretär,2 auf der Rückseite des Schreibens des Herzogs.


9704. AU MINISTRE D'ÉTAT ET DE CABINET COMTE DE PODEWILS A BERLIN.

Breslau, 18 janvier 1758.

Mon cher comte de Podewils. En vous renvoyant la lettre du baron de Münchhausen3 que vous avez bien voulu me communiquer à la suite de celle que vous venez de me faire du 14 de ce mois, je vous dirai que vous n'avez qu'à répondre audit sieur Münchhausen qu'il prend l'alarme trop vite, et que j'ai tout concerté avec le prince Ferdinand de Brunswick pour les jonctions.4 Mais voilà ce qui était le secret de l'église. Qu'il fallait qu'il insistât d'ailleurs pour les secours anglais vers le printemps,5 et ne point s'effrayer en attendant des fantômes que l'on se forge. Qu'au surplus la chose la plus principale était que lui, Münchhausen, songeât à faire seulement de grandes provisions de farine et d'avoine, et qu'il ne s'embarrassât pas du reste. Et, sur ce, je prie Dieu etc.

Federic.

Nach der Ausfertigung. Für den Haupttheil des Schreibens ( „vous n'avez qu'à répondre — qu'il ne s'embarrassât pas du reste“ ) befindet sich eine eigenhändige Weisung auf der Rückseite des Berichts des Grafen Podewils vom 14. Januar.


9705. AU CONSEILLER PRIVÉ DE GUERRE EICHEL A BRESLAU.

Der Marschall von Schottland übersendet, Neuchâtel 27. December 1757, den Auszug aus einem Schreiben, d. d. Turin 18. November. Es heisst darin: „Vous serez sûrement surpris et charmé d'apprendre les occupations de Monseigneur le duc de Savoie. Il suit le roi de Prusse dans toutes ses opérations; il a un livre où il les transcrit, qu'il porte toujours dans sa poche, et sur chaque fait il y joint ses réflexions. C'est son héros, il le regarde comme le plus grand roi et le plus grand capitaine qu'il y ait encore eu dans le monde, et il ne se lasse ni d'en parler ni de l'admirer.“

Lord Marschall fügt hinzu: „Vous jugerez, Sire, si quelque chose d'obligeant vers le duc de Savoie serait bien placée, sans qu'il parût que Votre intention était qu'il parvînt au Duc.“



1 Vergl. S. 156.

2 Von der demgemäss erfolgten Antwort des Königs liegt uns weder Concept noch Ausfertigung noch Abschrift vor.

3 D, d. Stade 6. Januar. Münchhausen spricht in dem Schreiben die Befürchtung aus, die Franzosen könnten mit grosser Uebermacht den Prinzen Ferdinand angreifen; er bittet den preussischen Minister, sich bei dem Könige dahin zu verwenden, dass die Operationen des Prinzen von preussischer Seite unterstützt würden.

4 Vergl. S. 116. 168. 182.

5 Vergl. S. 160. 162.