<13>und sich so wohl gegen ihn herausgelassen. Er sollte desfalls dem v. Schulin Namens Sr. Königl. Majestät ein sehr gratieuses und obligeantes Compliment machen und denselben ersuchen in solchen, seinem Herrn und dessen Landen so nützlichen Mesures zu continuiren, als welches zur Ruhe im Reiche ein grosses beitragen würde, da sonsten, wenn die dänische Auxiliairtruppen mit denen hanöverschen länger combiniret in Teutschland blieben, man billig daher grosse und landverderbliche Unruhen im Reiche zubesorgen hätte. Uebrigens würden Se. Königl. Majestät die Freundschaft des Königs von Danemark jederzeit sehr hoch halten und solche auf alle Weise zu continuiren bemühet sein.

An den p. v. Chambrier : Er sollte sehr genau sondiren, und zuverlässig melden, ob der Cardinal vor die Sachsen portiret sei oder nicht? Und ob er intendire, in Teutschland eine Espèce von Équilibre zu etabliren, um darin nur lauter kleine Herren (Regulos) zu haben und einen mit dem andern zu balanciren? Wie er, der p. v. Chambrier vermeine, dass der Cardinal im Grande seines Herzens gegen Se. Königl. Majestät sei und gedächte, ob er von Sr. Königl. Majestät jaloux sei und was er deshalb vor Mesures nehmen möchte, wozu eigentlich die grosse Augmentation in Frankreich abzielte etc.?“

Eichel.

Auszug aus der Ausfertiguag.


666. AU DUC RÉGNANT DE BRUNSWICK A BRUNSWICK.

Berlin, 18 janvier 1742.

Monsieur mon Frère. C'est avec plaisir que j'ai vu par votre lettre du 15 de ce mois que vous êtes heureusement retourné chez vous, ce dont je vous félicite de tout mon cœur, en vous demandant excuse de ce que mon départ m'empêche de vous répondre moi-même. Si vous témoignez d'avoir été satisfait du peu de séjour que vous avez fait ici, je ne le suis pas moins de votre agréable compagnie, quoique j'eusse souhaité d'en profiter plus longtemps. Cependant, je vous remercie de la communication de vos nouvelles de Russie, quoique peu consolantes, et je fais des vœux pourque celles qui suivront répondent à vos désirs. Quant à votre secrétaire de légation nommé Gross,1 j'ai ordonné au p. de Mardefeld de solliciter fortement sa délivrance autant qu'il sera possible, et vous pouvez compter sur l'ardeur de ses soins. Je suis plus que jamais avec une très sincère amitié, Monsieur mon Frère, votre très bon et très fidèle frère

Federic.

Nach Abschrift der Cabinetskanzlei.



1 Verhaftet als Anhänger des Grafen Ostermann.