<134>et il me semble qu'il est quasi démontré que,' si je quitte la partie, tout le reste des ressorts de l'alliance s'arrêteront d'eux-mêmes.

Milord Hyndford m'a écrit une lettre, passés deux mois, dans laquelle il me semble mettre au niveau de tout espérer, et à présent, l'on paraît plus dur, et il semble que l'on chicane tout.

Je n'ai pas besoin de la paix, je dois même me promettre des succès heureux de la guerre; l'unique dessein qui m'a fait donner les mains à cette négociation, a été d'éteindre par là le flambeau de la guerre, dont l'embrasement pourrait facilement devenir général. L'ancienne inclination que j'ai pour les Anglais, et le despotisme immanquable de la France, m'ont rendu facile, mais l'opiniâtreté orgueilleuse et le peu d'empressement des Anglais et des Autrichiens me rendra plus fier encore que je n'ai été. C'est à présent le temps de m'avoir, ou jamais, et dès que je serai éclairci de ce que j'ai à espérer des Puissances maritimes et de la maison d'Autriche, je prendrai mon parti pour la paix, ou bien pour entrer aveuglément dant toutes les vues de la France, et pour m'unir d'une façon si indissoluble avec cette puissance que la maison d'Autriche, et le roi d'Angleterre peut-être lui-même, pourront se reprocher de m'avoir négligé. Faites mes compliments à milord Hyndford, et dites-lui que j'espère qu'il sera assez discret pour ne rien dire de notre négociation et pour obliger la cour de Vienne à une égale discrétion.

J'attends la réponse de Vienne avec curiosité, car l'on y verra sûrement l'orgueil et la fanfaronnade autrichiens en entier, et je suis sûr qu'ils parleront de nous en termes si abjects et si humiliants qu'on ne saura en soutenir la lecture.

Adieu. Vous connaissez les sentiments que j'ai pour vous.

Federic.

Nach der Ausfertigung. Eigenhändig.


808. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BRESLAU.

Von dem Cabinetssecretär.

Chrudim, 26. April 1742.

Der Minister wird auf einen Bericht vom 24. April beschieden:

„Wie Se. Königl. Majestät nicht approbiren könnten, dass Ew. Excellenz bereits wegen Königgrätz und Pardubitz nachgegeben und dagegen auf die Totalité von Oberschlesien beständen. Ersteres wäre zur Zeit viel zu früh, und Se. Königl. Majestät beständen allerdings noch auf die Cession von Koniggrätz und Pardubitz und considerirten die Cession von Oberschlesien nicht anders, als das letzte Mittel, wann nämlich ganz und gar keine Hoffnung wäre, den wienerschen Hof zur Cession von Koniggrätz und Pardubitz zu bewegen, und dass es die äusserste Noth erforderte, dagegen Oberschlesien anzunehmen. Ew.