<157>deshalb keine Stipulationes haben, da einestheils solches der Souveränität, welche Sie über dièse Dero Conquête prätendirten, auch von andern Puissancen Ihro schon zugestanden worden, diamétralement zuwider, anderntheils aber Sie durch dergleichen Condition denen Oesterreichern keine Gelegenheit übrig lassen wollten, einen Anhang in Schlesién zu behalten und Se. Königl. Majestät in allen Stücken, unter dem Vor wand, es liefe wider die Constitution des Landes oder die etablirte katholische Religion, zu traversiren“ ....

Eichel.

Auszug aus der Ausfertigung.


838. AU MARÉCHAL DE FRANCE COMTE DE BROGLIE A PISEK.

Chrudim, 10 mai 1742.

Monsieur. J'ai reçu votre lettre, par laquelle j'ai vu toutes vos raisons pourquoi vous ne pouviez quitter le poste de Pisek, quand même l'ennemi voudrait marcher en force vers le Danube. Il y a tant de solidité dans tout ce que vous me dites sur l'importance du poste où vous êtes, que je ne saurais rien dire en contre. Aussi ai-je appris, depuis, que c'est nullement le dessein de l'ennemi d'aller vers le Danube, mais plutôt vers la Sazawa, et les avis que j'en ai eus sont qu'il assemble des troupes de ce côté-là et qu'il y campe. J'assemble actuellement les miennes, et je compte de pouvoir camper dans peu de jours aux environs de Czaslau ou de Kuttenberg, pour y observer les mouvements de l'ennemi, et pour être à portée de soutenir Prague.

Ce qui m'embarrasse le plus, c'est la subsistance, dont le fournissement coûtera des peines infinies. Quant aux Saxons, je suis tout-à-fait de votre sentiment qu'on aura bien des peines de les faire revenir pour quelque besogne. Je suis avec des sentiments d'estime, Monsieur, votre très affectionné

Federic.

Nach Abschrift der Cabinetskanzlei.


839. AU MINISTRE D'ÉTAT COMTE DE PODEWILS A BRESLAU.

Chrudim, 11 mai 1742.

Mon cher Podewils. J'ai cru tomber en syncope, en recevant la letttre que vous m'avez écrite.1 Je vois à présent pleinement que nous



1 D.d. Breslau 8. Mai mit einer Beilage „Discours que milord Hyndford m'adicté le 8 mai 1742.“ Ein Promemoria des wiener Hofes vom 30. April bietet an : Die am 9. October in Aussicht gestellten Abtretungen, eine Lisière von einer halben Meile jenseits der Neisse, und entweder Glatz oder einen Theil von Oberschlesien, der näher zu vereinbaren sei — ailes unter der conditio sine qua non, dass König von Preussen seine Waffen gegen die Franzosen wende. Ein früheres Promemoria des wiener Hofes (28. April) hatte die durch Hyndford übermittelten Friedensvorschläge gänzlich von der Hand gewiesen, mit den Worten „des lettres postérieures à l'invitation faite à milord Hyndford de se rendre à Breslau, n'augmentent que trop la crainte de la Reine que le roi de Prusse n'est pas encore disposé a y concourir.“ Auf Podewils' Frage, welche späteren Briefe gemeint seien, antwortet Hyndford „que c'était un billet anonyme qu'on avait envoyé à Vienne, et dans lequel on avait marqué que milord Hyndford ne se trouvant point auprès du Roi, on pouvait parvenir par une voie plus courte à négocier avec Sa Majesté.“ Dies Billet lautet (nach einer Abschrift von Eichels Hand): „Ce 19 février 1742. Milord Hyndford n'est point auprès du roi de Prusse; la lettre qui lui a été adressée est partie pour Berlin. Le roi de Prusse est à Znaym, et l'on peut trouver des moyens plus courts que milord Hyndford à lui parler.“ Der Vermittler war wohl Graf Giannini, vergloben S. 34. 71.