<20>inaltérable et du devoir essentiel que je me ferai de lui marquer la reconnaissance de toutes les politesses que j'ai reçues pendant mon séjour à sa cour, et vous, Monsieur, vous me ferez justice, si vous êtes persuadé de la considération distinguée avec laquelle je suis, Monsieur, votre très affectionné

Federic.

Nach Abschrift der Cabinetskanzlei.


670. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.

Podewils berichtet, Berlin 20. Januar: „On brigue secrètement la dignité électorale à Cassel, et si l'on y peut parvenir par le moyen du nouvel Empereur et de la France, il n'y a rien que cette maison ne fasse pour se rendre l'une et l'autre favorable. Mais comme on n'y réussirait point sans Votre Majesté, on a sondé déjà de long le terrain si l'on osait bien s adresser a Votre Majesté pour ob tenir Son assistance dans la poursuite de ce dessein.“

Glatz, 26 Januar 1742.

Wenn sie Churfürsten werden wollen, so müssen Sie Mir zum wenigsten ein ganzes Regiment Infanterie an Oberofficiers, Unterofficiers und Gemeinen auf ihre Kosten ganz complet stellen und liefern, welchem Regiment Ich dennoch das Gewehr und die Mondirung geben will. Alsdann und wann sie Mir das Regiment ganz complet überlassen werden, Ich ihren Vues zur Churwürde nicht conträr sein will.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.


671. AU COMTE DE BRÜHL, MINISTRE DU CABINET, A DRESDE.

Landskron, 27 janvier 1742.

Monsieur. Je vous adresse la lettre ci-jointe à Sa Majesté le Roivotre maître, à laquelle je n'ai pas voulu écrire avant que je n'aie étéau fait de la situation présente des affaires d'ici, espérant que Sa Majesté voudra bien excuser ce petit délai. Je trouve ici les affaires disposées de manière que je puis croire que nos entreprises iront à souhait. On a pourvu les troupes de Sa Majesté ainsi qu'elles ne manquent plus de rien, et j'espère que le Roi votre maître aura bientôt des nouvelles de l'entrée de ses troupes en Moravie, où on fournira à leur subsistance, et que l'ennemi aura été obligé de se retirer, sans que des nôtres on en ait perdu du monde. Je suis, au reste, avec une considération particulière, Monsieur, votre très affectionné

Federic.

Nach einer Abschrift im Königl. Haupt-Staatsarchiv zu Dresden.