<271>m'accuser d'avoir sigrand tort de me tirer d'une alliance que celui qui gouverne la France avoue d'avoir contractée à regret?1 Un ministre sent le poids de ces raisons, mais ce n'est pas à la multitude d'en juger.

Je regrette d'ailleurs véritablement que le temps ait du pouvoir sur de certaines personnes qu'il devrait respecter. Les hommes aimables et les grands hommes devraient être exemptés de la loi commune. Je ne puis me consoler de ne vous avoir pas connu personnellement; c'est une chose que je me reprocherai toute ma vie. Je vous prie, Monsieur, de me conserver les bons sentiments que vous avez à mon égard, et je vous assure que je suis sans la moindre rancune, avec toute l'estime et toute l'amitié possible, Monsieur mon Cousin, votre très parfait ami et cousin

Federic.

Nach Abschrift der Cabinetskanzlei.


977. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.

Podewils berichtet, Berlin 11. September, über den Eindruck seiner Déclaration2 auf Lord Hyndford : „Hyndford parat d'abord extrêmement déconcerté par cette déclaration, et il l'a voulut regarder comme une défaite ou un prétexte qu'on cherchait d'éviter de conclure l'alliance défensive avec le Roi son maître.“ Ein Krieg, der anlässlich der Sendung englischer Hülfstruppen an die Königin von Ungarn zwischen Frankreich und England ausbrechen könnte, kann nach Hynfords Auffassung nicht als Angriffskrieg betrachtet werden. Die englische Garantie für Schlesien werde nur in Kraft bleiben, wenn die Defensivallianz zum Abscbluss komme. Podewils meint : Le roi d'Angleterre „n'aurait certainement pas fait marcher ses troupes s'il ne croyait pas ses États héréditaires à l'abri de toute insulte par l'alliance défensive avec Votre Majesté... Mais d'un autre côté, il pourrait arriver aussi que, si cette déclaration rendait le roi d'Angleterre plus modéré et le faisait prêter l'oreille à des propositions d'accommodement, .... qu'il changeât aussi de sentiment par rapport à l'alliance défensive avec Votre Majesté et que la dernière échouât entièrement,“

Potsdam, 12. September 1742.

Diese Déclaration ist ja nichts neues, sondern die, so Ich allemal und von Anfang her gethan. Wenn sie aber nicht angegriffen werden, sondern einen offensiven Krieg von freien Stücken anfangen, so kann dieses kein Casus foederis sein. Werden sie aber attaquiret, so bin Ich schuldig und bereit nach unserer Alliance ihre Lande zu schützen und wider alle Entreprisen zu garantiren. Dieses ist also nichts besonderes noch neues, was Ich declarire, sondern die Natur und der Gebrauch von allen defensiven Alliancen, und wenn Ich solches besonders declarire, so geschiehet es de bonne foi und um alle Équivoque zu evitiren.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.



1 Vergl. oben S. 257 Anm. 2.

2 Vergl. oben S. 267 Anm. 1.