<296>envie de faire par rapport aux Princes ses fils. J'aimerais toujours mieux que nous la puissions ramener, s'il est possible, par des voies de douceur, ce qu'il faut au moins essayer, avant que de faire quelque éclat, et avant que de nous servir de remèdes violents.1 En attendant, vous continuerez de faire observer ses desseins, et vous me ferez part de ce qui en viendra à votre connaissance. Je suis etc.

Federic.

Nach der Ausfertigung.


1013. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.

Klinggräffen berichtet, Frankfurt 17. November : „Je sais que le sieur de Bartenstein a fait dire à de ses amis ici, que la situation où se trouvait l'Empereur, obligerait les Électeurs à l'élection d'un roi des Romains en la personne du Grand-Duc, le jeune Archi-Duc étant encore trop jeune“ ... L'Empereur „me fit l'honneur de m'assurer en les termes les plus forts qu'il met en Votre Majesté son unique confiance, souhaitant extrêmement qu'Elle voulût proposer un plan d'accommodement . . . m'enjoignant au surplus en grande confidence de représenter à Votre Majesté si, afin de faire paraître plus d'impartialité, il ne serait point utile pour le prompt rétablissement de la tranquillité que Votre Majesté, conjointement avec la république de Hollande, fissent un plan suivant lequel les intéressés seraient obligés de mettre fin à la guerre; que pour lui, il passerait par tout ce qui de cette façon serait trouvé juste. Ce prince pense que l'Angleterre serait peut-être bien aise de cet expédient.“

Potsdam, 24. November 1742.

In Holland kommt man sehr langsam zu Stande. Ich glaube wohl, dass, da die Oesterreicher die kaiserliche Krone nicht bekommen können, sie auf die Würde eines Römischen Königs denken werden. Ich kann es aber nicht zugeben, und Frankreich nebst dem Kaiser auch nicht. Der Etatsminister Graf Podewils muss mit Valory sprechen, auch den p. Chambrier instruiren, um adroitement die Meinung des französischen Hofes zu sondiren und ihnen zu insinuiren wie Ich nicht glaubte, dass das französische Ministerium das Interesse von Frankreich so gar vergessen und die Wahl eines österreichischen Prinzen zum Römischen König zulassen oder conniviren, mithin seinen ohnversöhnlichen Feind selbst krönen und dadurch dessen Macht gegen Frankreich verdoppeln würde. Man kann auch an Klinggräffen schreiben, dass er dem von Groschlag adroitement uud mit aller Circonspection dergleichen dien liche Insimiationes thut, ohne Mich zu meliren.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cahinetssecretärs.



1 Gotter schlägt für den Fall einer feindseligen Haltung der Herzogin u. A. vor, ihrem Sohn bei dem Kaiser die venia aetatis zu erwirken, um so die Zeit der vormundschaftlichen Regierung abzukürzen.