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1225. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.

Podewils berichtet, Berlin 12. October: „J'attends les ordres de Votre Majesté

1° si l'on doit expédier en termes généraux une simple lettre de récréance pour le marquis de Botta et une réponse de Votre Majesté à la lettre de ce ministre sans y toucher la moindre chose de l'affaire de Russie ou du contentement de Votre Majesté de sa conduite.“

Potsdam, 13. October 1743.

Recht sehr gut, nur in ganz generalen Terminis.1 Dem Generallieutenant von Dohna soll von allem Nachricht gegeben, dem Botta aber durch den Etatsminister Grafen von Podewils gesaget werden, wie man in Consideration des russischen Hofes nicht anders thun könne.

2° Si Votre Majesté veut bien lui accorder les passeports nécessaires et franchise pour tout son bagage.“

Gut. Accordire.

3° Si Votre Majesté a pour agréable qu'il puisse retourner par la Silésie pour sa personne à Vienne, puisqu'il m'a dit qu'en cela comme en toute autre chose il ne voulait rien faire qui puisse déplaire à Votre Majesté.“

Desgleichen gut, er kann seinen Weg durch Schlesien nehmen.

4° Si Votre Majesté lui destine quelque présent de congé, ou s'il n'en doit point avoir.“

Bei den jetzigen Umständen, worin er mit Russland stehet, würde es sich wohl nicht schicken, wenn Ich ihm ein Abschiedspraesent gäbe, und also kann er ein solches nicht bekommen. Wann er aber in Wien angekommen sein wird, will Ich ihm ein Andenken von Mir durch den Generallieutenant Graf Dohna praesentiren lassen, woran Ich zur gehörigen Zeit erinnert sein will.

Mündliche Resolution.. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.


1226. AU PRINCE GUILLAUME DE HESSE-CASSEL A CASSEL.

Potsdam, 13 octobre 1743.

Mon Cousin. La satisfaction particulière que j'ai eue, lorsque j'avais le plaisir de voir Votre Altesse l'hiver passé à Berlin,2 m'a laissé toujours un désir sincère de La revoir chez moi, pour L'entretenir de la parfaite considération que j'ai pour Elle.

Comme l'hiver qui va venir me paraît pour cela le temps le plus propre, rien ne me serait plus agréable que si Votre Altesse voulait me donner encore ce sujet de contentement de venir me voir à Berlin, et de S'y désennuyer pour autant de temps que Ses affaires le voudraient permettre.

C'est de quoi je La prie avec d'autant plus d'empressement que je profiterai alors de cette occasion pour m'entretenir cordialement avec un ami aussi cher, et de L'assurer de la parfaite estime avec laquelle je



1 Die in dieser Weise abgefassten Schreiben sind vom 15. October.

2 Vergl. oben S. 378.