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eines Accommodements bezeiget, sondern sich in etwas nach demjenigen gerichtet hätte, was Se. Königl. Majestät ihm dieserhalb vorhin schon occasione des Lord Chesterfield schreiben lassen und was sonsten dem Andrié desfalls schon geschrieben worden. Wie denn überall Se. Königl. Majestät die gegenseitige Partie lieber kommen sehen als suchen würden.

. . . Wovor ich . . . dem Höchsten insonderheit danke, ist, dass des Königs Majestät des erhaltenen grossen Sieges ohnerachtet égal bleiben und in denselben Gedanken wegen eines anzunehmenden Friedens beharren. Sie werden auch keine Propositiones refusiren, nur allein wünschen Sie vor Dero Gloire sowohl, als, wie Sie sagen, pro studio et labore und wegen des immensen Schadens, so durch den injusten Krieg und Einfall der Oesterreicher in Schlesien geschehen, durch eine Cession des übrigen Antheils von Oberschlesien inclusive der mährischen En- clavures, ratione Oesterreichs, und ratione Sachsens durch Cession von Fürstenberg und des dazu gehörigen Oderzolls, in etwas indemnisiret zu werden. Ich bin exprès befehliget worden, Ew. Excellenz davon im Vertrauen vorläufig zu benachrichtigen .... Die eigentliche Anzahl der Trophées, so von der letzten Schlacht nach Breslau gebracht worden, bestehet in 80 Canons und Haubitzen, 76 Fahnen, 8 Paar Pauken und 15 Estandarten“ ...

Eichel.

Auszug aus der Ausfertigung.


1881. AU CONSEILLER PRIVÉ DE GUERRE EICHEL A BORZITZ.

Podewils berichtet, Berlin 11. Juni : „Je crois que, pour ne pas boucher le canal à la cour de Saxe de faire des démarches ou des insinuations ici, après le rude échec que les Saxons ont souffert en Silésie, il conviendrait aux intérêts de Votre Majesté de tolérer encore les ministres de Saxe à Sa cour. C'est pourquoi, et jusqu'à nouvel ordre et jusqu'à une réponse à ce rapport, je n'ai pas cru devoir me précipiter de renvoyer les ministres de Saxe d'ici, d'autant plus qu'ils restent malgré le retour de Cagnony et le renvoi du résident saxon de Breslau. C'est une marque que la Saxe voudra peut-être faire quelques pas pour chercher à s'accrocher avec Votre Majesté. Et comme il faut absolument les voir venir, si l'on en veut tirer parti, j'ai fait entendre finement à Bülow, comme pour moi même, que, si, malgré le départ de Cagnony, il avait quelque proposition capable-d'apaiser Votre Majesté ... je tâcherais de le se

[Camp de Borzitz, près de Nachod, 15 juin 1745].

Je suis fort étonné qu'il n'ait pas renvoyé Bulow, comme je le lui ai ordonné; que je veux absolument qu'il parte; que la Saxe ne fera aucunes propositions; que je ne veux point que le roi de Pologne devienne empereur, et que nous voulons faire une paix, s'il y a moyen d'y parvenir, sans tenter tant de hasards, que la peur est le seul moyen à employer pour mener les Saxons à ce que l'on souhaite, et qu'il faudra voir comment on pourra la leur donner bien chaude. Que Podewils s'y est mal pris avec Bülow, et qu'il lui doit faire annoncer durement