<237>tative gethan, darauf in einigen Tagen Antwort erwarte; worauf alles beruhet. Es sind auch schon die Regimenter und Bataillons auf dem Sprunge, dass sie nebst dem Prinz Dietrich und Moritz und anderen Generalmajors alle Zeit marschiren können. Ich bin Ew. Liebden freundwilliger Vetter

Friderich.

Nach der Ausfertigung im Herzogl. Archiv zu Zerbst.


1936. AU CONSEILLER BARON LE CHAMBRIER A LILLE.

Chambrier berichtet, Lille 12. Juli: „Le marquis d'Argenson m'a dit, il y a quelque temps, qu'il était question d'un nouveau projet contre l'Angleterre ... Je sais de bonne part que le roi de France a écrit au jeune Prétendant qu'il devait rester à Fitz-James jusqu'à ce qu'il lui marquât d'en partir, qu'il travaillait pour son bien et qu'il devait être tranquille ... On se flatte que la cour de Londres sera forcée à en venir à une paix, et que la reine de Hongrie en sentira le contrecoup.“

Camp de Chlum, 27 juillet 1745.

La relation que vous m'avez faite le 12 de ce mois m'a été bien rendue. Vous ne manquerez pas d'être fort attentif, tant sur le dessein mentionné dans votre relation que sur le chipotage secret de l'émissaire hollandais avec le ministère de France sur une paix à faire. Au reste, le prince de Conty venant de repasser le Rhin, voilà l'accomplissement de ce que je vous ai prédit, et comme je me vois par là abandonné des Français, et toutes les affaires de l'Empire à la merci de nos ennemis communs, je crains extrêmement pour les suites qui résulteront de cet événement fâcheux; aussi ne manquerez-vous pas de vous en plaindre aux ministres.

Federic.

Nach Abschrift der Cabinetskanzlei.


1937. AU CONSEILLER ANDRIÉ A HANOVRE.

Camp de Chlum, 27 juillet 1745.

J'ai appris avec plaisir, par le post-scriptum de votre relation du 18 de ce mois, l'apparence qu'il y a que le ministère anglais pourrait à la fin se prêter à venir à nous et à s'expliquer sur les conditions d'un accommodement à faire avec la reine de Hongrie. Vous devez faire de votre mieux pour entretenir le lord Harrington dans ces sentiments, en l'assurant qu'il me trouverait toujours dans la même disposition pour ne point refuser un accommodement juste et raisonnable, pourvu qu'on cheminât droit avec moi; mais qu'on pourrait fort regretter un Jour, de m'avoir tant négligé et agi avec moi d'une façon si peu sincère et ouverte, comme il y a toute l'apparence qu'on a fait jusqu'ici. Que je laissais à la considération du lord Harrington s'il était possible