1891. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.

<199>

Podewils und Borcke berichten, Berlin 19. Juni: „Le baron de Beckers vient de nous représenter que l'Électeur son maître, ne voyant point d'autre moyen pour sauver ses États des exactions que

Lager bei Divetz, 26. Juni 1745.

Des Königs Majestät haben, nachdem Sie die bei einliegender Depêche befindlich gewesene chiff

les Autrichiens continuaient d'y exercer, et pour en prévenir la ruine totale, que d'accepter extérieurement la neutralité que la cour de Vienne lui offrait, souhaitait fort et le recevrait avec une reconnaissance parfaite, comme une marque particulière de la bienveillance de Votre Majesté, si Elle voulait bien y donner Son consentement et S'employer même à la cour de France pour lui procurer celui de Sa Majesté Très Chrétienne; qu'au surplus Son Altesse Electorale, en prenant les apparences de la neutralité, n'entendait nullement renoncer à ses engagements avec ses alliés et surtout avec Votre Majesté, et que dans toutes les délibérations, soit à la diète d'élection, soit dans celles des Cercles, la seule voie des opérations militaires exceptée, elle agirait d'un parfait concert avec Votre Majesté et la France.“

Die Minister legen ein in diesem Sinne abgefasstes Rescript an Chambrier zur königlichen Unterschrift vor.

rirte Relation gar bedächtlich gelesen, nicht nur diese Dépêche vollenzogen, sondern auch den ganzen Einhalt erstermeldeter Relation vollenkommen allergnädigst approbiret, und befohlen, dass nach dem Einhalt derselben auf die Sache quaestionis in Frankreich gearbeitet, auch sonsten zu Berlin mit dem darin genannten Ministro alles sehr gut und wohl zu Sr. Königl. Majestät allerhöchstem Interesse reguliret werden sollte.

Eichel.

Nach der Ausfertigung.