2046. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.

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Chambrier berichtet, Paris 18. October: „Il semble que la joie qu'a causée la dernière victoire de Votre Majesté au ministère d'ici, vient principalement de ce qu'il espère que cela facilitera un accommodement dans les affaires d'Allemagne, sans que la France soit obligée de faire de nouveaux efforts . . . Depuis quelque temps, je n'entends plus parler de l'augmentation; ce ministère s'est retranché à dire qu'il ne ferait rien, sans savoir à quoi s'en tenir avec Votre Majesté, de qui il attendait les sentiments sur les affaires

Berlin, 2. November 1745.

Es muss dem p. Chambrier geantwortet werden, wie Ich Mich sehr wunderte, dass das französische Ministerium noch so ungereimt denken könnte. Er möchte doch den Argenson convenablement einmal fragen, in was vor Punkt sie ihrer mit Mir getroffene Alliance und allem, was sie Mir seitdem versprochen und versichert hätten,

présentes, et depuis que je lui ai serré le bouton sur ce qui convient à Votre Majesté, je n'en ai point encore de réponse, parcequ'il craint de s'expliquer sur des choses dont il voudrait que Votre Majesté eût tout le poids . . . Malgré que ce ministère pense comme il fait sur les affaires d'Allemagne et se conduise aussi pitoyablement envers Votre Majesté, Elle peut compter cependant que, si Elle est forcée d'en venir à un accommodement avec la reine de Hongrie, cette cour et cette nation crieront comme des aigles contre Votre Majesté.“

ein Genüge gethan, und wenn des Königs Majestät gar keinen Vortheil von ihrer Alliance haben sollten, so wäre ja wohl nichts schlechters zu erdenken, als dass man ihrerseits mit Deroselben, die der stärkste, beste und beständigste Alliirte von Frankreich gewesen, auf solche Art umgehen wollte.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretars.