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République. Cette voie me paraîtrait aussi la plus sûre pour faire offrir la médiation à Votre Majesté; mais pour cet effet il serait nécessaire qui je pusse de temps à temps faire de petits voyages à Amsterdam.“

Amsterdam nicht approbirten, indem die Engelländer solches nicht anders ansehen würden, als ob man die Holländer von ihnen separiren wollte, welches kein gut Geblüt machen könnte. Ueberhaupt wäre Sr. Königl. Majestät Intention gar nicht, Sich zu dieser Mediation aufzudrängen oder Sich dazu anzubieten, vielmehr wollten Sie die anderen kommen sehen. Würden die Holländer Sr. Königl. Majestät solche Mediation antragen und Höchstdieselbe zugleich im Stande setzen, darin mit Success etwas entrepreniren zu können, so würden Höchstdieselbe Sich solcher mit Plaisir unterziehen, da Sie nichts mehr wünschten, als der République reelle Marquen von Dero Freundschaft, und dass Sie das Interesse der République fast so hoch wie Dero eigenes schätzten, gerne zu geben; nur alleine wollten Sie Sich nicht dazu drängen, sondern erwarten, was die République deshalb nöthig und vor sich diensam fände oder nicht.

Eichel.

Nach der Ausfertigung.


2158. AU DUC RÉGNANT DE WURTEMBERG A STUTTGART.

Berlin, 21 février 1746.

Monsieur mon Cousin. La lettre de Votre Altesse du 7 courant m'a été bien rendue. Je ne m'arrêterai que peu sur le chapitre de la neutralité de l'Empire, ayant déjà amplement détaillé à Votre Altesse par mes dernières lettres mes sentiments à ce sujet. J'y persiste constamment et je me confirme de plus en plus dans la pensée que pour conserver le système du Corps Germanique et pour en détourner les dangers qui semblent le menacer, la neutralité en est l'unique moyen. La France l'offre. Si elle voulait agréer les conditions que Votre Altesse souhaite d'y attacher, il n'en serait que mieux. Mais je doute fort que cette couronne craigne assez la rupture avec l'Empire pour la racheter à pareil prix, et que malgré sa supériorité elle soit d'humeur de se laisser prescrire des lois. Il me semble donc que la prudence exige de s'attacher au principal et de concentrer tous ses soins à bien assurer et affermir un arrangement dont le salut de la patrie dépend, sans s'arrêter trop à la poursuite des objets qui pourraient faire manquer le grand point de vue qu'on se propose et qui est la tranquillité parfaite de l'Empire au milieu des troubles dont l'Europe est agitée maintenant. J'ai donné déjà des ordres précis à mon ministre à la Diète de communiquer et d'agir de concert avec celui de Votre Altesse sur tout ce qui est relatif à l'affaire de la neutralité, aussi bien qu'à d'autres intérêts communs, et je ne doute point qu'Elle n'ait envoyé de semblables instructions au Sien.