2150. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFF AIREN.

Finckenstein berichtet, Stockholm 28. Januar, dass er die Allianzartikel einstweilen im Geheimen mit dem Grafen Gyllenborg discutirt habe. „C'est une méthode que j'ai suivie plus d'une fois et dont je me suis toujours bien trouvé, ce sénateur étant plus porté que personne pour la réussite de la négociation … Je l'ai consulté hier sur la garantie des traités de Breslau et de Dresde dont Votre Majesté souhaiterait que la Suède se chargeât … Ce ministre m'a répondu … que s'il ne tenait qu'à lui, il n'hésiterait pas un moment à passer cet article … mais qu'il craignait que cette proposition n'accrochât la négociation et que les malintentionnés n'y cherchassent des mystères et des finesses. Il me dit cependant qu'il y penserait … Je n'ai pas voulu parier du traité d'Abo; j'ai remarqué dans plus d'une occasion que le souvenir de ce traité est odieux à la nation, et on ne verrait sûrement pas sans peine, si Votre Majesté paraissait vouloir consolider une disposition qu'on regarde comme malheureuse pour ce pays-ci … Gyllenborg me dit au reste que le comte de Bestushew commençait déjà à faire des difficultés.“

Berlin, 11. Februar 1746.

Es muss ihm geantwortet werden, wie Ich glaubte, dass das beste wäre, wir concludirten ohne weitere Schwierigkeiten je eher je lieber, so haben wir einige gewisse Avantages dabei. Wenn die Alliance erst einmal geschlossen wäre, so wäre dies die Base, worauf wir hiernächst weiter bauen und allemal nach Gelegenheit weiter Articles secrets et séparés zufügen können, wodurch wir hernach die Garantie und andere dergleichen Convenances mehr festsetzen können. Vor das gegenwärtige Moment ist eine generale Alliance schon genug, und das Interesse von Schweden sowohl als von Mir, solchen Tractat je eher je lieber zu schliessen, um hernach desto freiere Hände zu haben.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.

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