2309. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.

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Podewils berichtet, Berlin 19. August, dass er den Weisungen des Königs gemäss mit Ginkel sprechen werde, sobald derselbe von einer Reise auf das Land zurückkehre. „Je suppose en attendant que l'intention de Votre Majesté est tou-

Potsdam, 19. August 1746.

Ich bin völlig von seinem Sentiment, und dass wir jetzo alles praepariren und festsetzen, auch solche reciproque Declarationes aus-

jours de ne Se charger de la garantie réciproque qu'après la paix générale … Mais d'un autre côté, il n'y a point ou peu d'apparence que la République, sans une parfaite réciprocité et une garantie bien positive de toutes ses possessions en Europe, la barrière y comprise, veuille garantir dès à présent à Votre Majesté Ses États, et nommément la Silésie, Glatz et l'Ostfrise. Ainsi, il ne s'agira à présent que de prendre par une déclaration réciproque les arrangements nécessaires, moyennant lesquels Votre Majesté pourra faire déclarer que, dès que la paix générale sera faite, Elle Se chargera de la garantie de toutes les possessions de la République en Europe, la barrière qui sera réglée dans cette paix y comprise; et en échange l'Etat doit déclarer qu'il se chargera de son côté à la future paix générale de garantir efficacement à Votre Majesté toutes Ses possessions, et nommément la Silésie, la comté de Glatz, et l'Ostfrise.“

stellen, damit, sobald nur der Generalfriede geschlossen sein wird, alsdann unsere Garanties zugleich constatiren, und es deshalb de part et d'autre keine Difficultät weiter gebe.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.