2694. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.

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Podewils berichtet, Berlin 6. Juli: „Je ne manquerai pas de me conformer exactement aux ordres de Votre Majesté

Potsdam, 7. Juli 1747.

Wann ihm Bernes von seinem Neveu spricht, so soll er ihm nur

touchant les plaintes de la cour de Vienne contre mon neveu … Je ne me souviens pas que Bernes ait jamais touché cette corde, sinon d'abord les quatre premières semaines après son arrivée, ainsi que j'en ai informé alors Votre Majesté. C'était sur les bruits de troupes qu'on disait que la cour de Vienne faisait défiler en Bohême et sur les frontières de la Silésie. Il me dit alors, autant qu'il me souvient, qu'il serait fâché de porter des plaintes contre mon neveu, qu'il aimait et estimait comme un ami, mais qu'il paraissait qu'il puisait ses nouvelles souvent dans des sources bourbeuses et qu'il ajoutait trop légèrement foi à toute sorte de donneurs d'avis, dont Vienne fourmillait plus qu'aucun autre endroit au monde.“

sagen, man wäre wohl informiret, dass man dem Grafen von Podewils zu Wien Mouches detachiret habe, welche ihm allerhand fausse Insinuationes gethan, um ihn falsche Démarches begehen zu machen; aber er wäre zu penetrant, dass er nicht dergleichen hätte unterscheiden sollen. Man könne leicht urtheilen, dass man dorten deshalb nicht mit ihm zufrieden sein könne, weil er so viele Sollicitations, betreffend die Erfüllung des dresdenschen Friedenstractats und wegen der Garantie, thun müssen. Wenn Ich ihn aber schon rappellirte und noch hundert andere wiederum nach Wien schickte, so würden diese doch ihnen wegen Erfüllung gedachten Friedenstractats in die Ohren schreien müssen, bis dem Tractat ein Genüge geschehen.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.