<294> que l'on s'en e'tait attendus, l'effet de ces canons forgés étant incontestablement beaucoup moindre que celui de ceux de fonte.

Federic.

Nach dem Concept.


4185. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.

Podewils und Finckenstein berichten, Berlin 16. März, in Betreff der im Interesse des stettiner Handels bei Frankreich zu beantragenden Gleichstellung Stettins mit den Hansestädten.1 „La même proposition ayant été déjà faite aux ministres de France par le baron Le Chambrier, 2 elle en a été si peu favorablement reçue qu'il n'a pas jugé de l'intérêt de Votre Majesté d'y insister davantage. On lui a déclaré nettement que le traité conclu avec les Villes Anséatiques regardait uniquement celles de Lübeck, de Hambourg et de Brème, à l'exception de toutes les autres qui avaient ci-devant appartenu à la Société Anséatique … On lui a fait sentir, de plus, que de quelque façon que la France voudrait accorder aux sujets de Votre Majesté les faveurs et les exemptions qu'Elle demandait pour eux, la charge en retomberait toujours à la couronne, parcequ'elle serait obligée de bonifier aux fermiers généraux ce que les sujets de Votre Majesté y épargneraient.“

Potsdam, 17. März 1750.

Der Etatsminister Graf von Podewils soll dem Memoire noch hinzufügen, dass durch die Acquisition von Schlesien das Commerce von Frankreich, sonderlich von seinen Weinen, notablement augmentiret worden, als welche jetzo stark dahin gingen, statt dass vorhin nichts als ungrische Weine allda consumiret worden. Und weil alle solche französische Weine über Stettin gingen, so würde dadurch das Négoce von Frankreich mit befördert werden, wann es die stettinsche Handlung beneficirte. Sonsten releviren alle dagegen angezeigete Schwierigkeiten wenig oder nichts, wenn sie recht eingesehen werden.

Mündliche Resolution. Nach Autzeichnung des Cabinetssecretärs.


4186. AU MARQUIS DE VALORY, ENVOYÉ DE FRANCE, A BERLIN.

Potsdam, 17 mars 1750.

Monsieur le Marquis de Valory. Vous avez vu mon admiration et ma sensibilité à la réception des belles statues que le Roi votre maître à bien voulu m'envoyer.3 Un pareil présent répond également à sa magnificence et à la manière dont je ressens tout ce qui me vient de sa part. Vous savez mieux qu'un autre le cas infini que j'en fais, et combien mon amitié est flattée de tous les témoignages que je reçois de la sienne. Je ressens aussi, comme je le dois, la façon dont vous avez rempli dans cette occasion la commission dont vous étiez chargé, et le présent que je fais joindre à cette lettre,4 et que vous voudrez bien agréer de ma part, est autant une marque de la bienveillance et de



1 Vergl. S. 291.

2 Vergl. Bd. VI, 404.

3 Vergl. S. 235.

4 Ein Ring mit dem Bilde des Königs.