4158. AU CONSEILLER PRIVÉ DE LÉGATION ERNEST-JEAN DE VOSS A DRESDE.

Potsdam, 3 mars 1750.

Votre dépêche du 23 de février dernier m'est bien entrée. Personne ne saurait disconvenir que les circonstances dans lesquelles se trouve la Saxe, ne soient tellement impliquées qu'elles surpassent tout entendement et tout ce qu'on pourrait s'en imaginer. Quoi qu'il en soit, vous avez parfaitement raison de croire que, si à la foire prochaine de Leipzig le payement vient à cesser, il en sera fait du crédit de la Saxe, de façon à être perdu sans ressource pour elle.

Federic.

Nach dem Concept.