4200. AU CONSEILLER PRIVÉ DE LÉGATION FRÉDÉRIC DE VOSS A COPENHAGUE.

Potsdam, 24 mars 1750.

J'ai été satisfait autant qu'on le peut du contenu de votre rapport du 17 de ce mois, et je ne doute pas moi-même qu'en cas que la cour de Danemark fasse faire des déclarations énergiques de sa part aux cours de Vienne, de Londres et principalement à celle de Pétersbourg, concernant les prétentions injustes dont cette dernière moleste la Suède — qu'en ce cas, dis-je, lesdites déclarations du Danemark ne fassent impression sur ces cours et ne produisent un bon effet.

<306>

Vous avez, au reste, très bien fait, de lire et de communiquer à M. de Schulin l'article de vos ordresrelatifs à la déclaration en question.306-1

Federic.

Nach dem Concept.



306-1 Vergl. S. 281.