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Mes lettres ajoutent d'ailleurs que le sieur Williams doit offrir des subsides et promettre toutes les autres convenances encore que la cour de Dresde voudra se stipuler, toutefois à condition qu'elle promette sa voix pour l'élection de l'Archiduc aîné à la dignité de roi des Romains, affaire qu'on songe de ne pas mettre publiquement sur le tapis que dans l'année qui vient, et après qu'on se soit assuré d'une grande pluralité des voix.

Je n'ai point hésité de vous communiquer, Milord, ces avis intéressants, dans la ferme confiance où je suis que vous m'en garderez le secret le plus exact et que vous n'en confierez rien à tel qui ce soit, hormis à M. de Puyzieulx, à qui vous voudrez bien les faire passer par une voie très sûre et point exposée à des inconvénients qui sauraient trahir notre secret. Surquoi, je prie Dieu etc.

Federic.

Nach der Ausfertigung im Archiv des Auswärtigen Ministeriums zu Paris.


4448. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.

Rohd berichtet, Stockholm 28. Juli, über Conferenzen zwischen dem französischen Botschafter Havrincourt und dem dänischen Gesandten Wind, über deren Inhalt ihm bis jetzt nichts bekannt geworden sei.

Potsdam, 7. August 1750.

Er möchte dem Grafen Tessin doch sagen, ob er nicht einmal die Sache wegen des Transports nach Finnland zu Verstärkung der dortigen Truppen zu Stande bringen würde. Da die Sache so heilsam und nothwendig und der Vorschlag dazu von ihm, dem Grafen Tessin, selbst geschehen sei, so würde es überall eine üble Impression machen, wenn er es nicht zur Réalité und Consistance brächte.1

Fr. von Voss berichtet, Kopenhagen 1. August, über eine längere Unterredung mit Lemaire, deren Inhalt derselbe ihn gebeten hat seinem Hofe zu melden. „Lemaire croit comme Votre Majesté qu'il y a de l'ostentation dans les armements que la cour de Pétersbourg se propose de faire, mais il n'en est pas moins persuadé qu'il importe extrêmement pour la conservation de la tranquillité du Nord

Alles, was der Abbé Lemaire ihm gesagt, seind recht gute Sachen, und hat er recht, dass Schweden sich hätte in recht guten Defensionsstande setzen [sollen]; derselbe aber müsste jedoch wissen, wie wir nicht so weit Meister von den schwedischen Sachen wären, dass wir



1 Der demnächst im Ministerium concipirte Erlass an Rohd, Berlin 11. August, beginnt mit den Worten: „En accusant la réception de votre dépêche du 28 juillet passé, je ne saurais vous dissimuler que je suis extrêmement surpris de n'y pas trouver un seul mot touchant les délibérations du Sénat par rapport à l'envoi de quelques nouveaux régiments en Finlande.“