4387. AU CONSEILLER BARON LE CHAMBRIER A PARIS.

Potsdam, 7 juillet 1750.

Je vous suis obligé des réflexions judicieuses de votre part dont vous accompagnez votre rapport du 25 de juin dernier. Quant à moi, je ne saurais m'empêcher de souhaiter, par les mêmes motifs que je vous ai déjà donné à connaître il y a quelque temps,6-3 que le plan qu'a formé le contrôleur général des finances pour faire payer au clergé de France le vingtième denier des biens dont il se trouve en possession, puisse parvenir à sa consistance, de quoi je serais d'autant plus aise que l'affaire, n'étant que très juste en elle-même, produirait également de l'honneur et de l'avantage à la couronne de France.

Federic.

Nach dem Concept.



6-3 Vergl. Bd. VII, 401.