5632. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.

<242>

Finckenstein berichtet, Berlin 13. October: „Le chevalier de La Touche m'a dit que le comte de Broglie lui marquait que le comte de Brühl, lui ayant parlé des affaires de la Steuer … avait ajouté que, selon les lettres de M. de Bülow, lui, chevalier de La Touche, devait avoir eu une audience de Votre Majesté pour Lui faire des représentations sur cette même affaire, mais qu'il en était sorti fort mécontent de la réponse que Votre Majesté lui avait donnée, et qu'il avait sur le champ dépêché un courrier extraordinaire pour en informer sa cour, le chevalier de La Touche m'a témoigné être d'autant plus surpris de tout ce que

Potsdam, 16. October 1752.

Des Königs Majestät haben mir befohlen, bei Zurücksendung der Einlage an des Etats- und Cabinetsminister Herrn Grafen von Podewils Excellenz von Höchstderoselben wegen zu vermelden, wie Sr. Königl. Majestät es sehr lieb sei, dass M. de La Touche die grosse Duplicité des Ministre von Bülow und seines Hofes kennen lernete und über die ihm von nurgedachtem Ministre gespielete em-

M. de Bülow avait jugé à propos de lui prêter dans cette occasion, que, bien loin de lui marquer le moindre mécontentement, il lui avait simplement dit qu'il s'était acquitté de sa commission, mais que Votre Majesté, comme il l'avait bien prévu, n'était nullement intentionnée de Se départir de la résolution qu'Elle avait prise. …Qu'en un mot tout le rapport de M. de Bülow était faux et controuvé depuis un bout à l'autre … Il a fini par me dire qu'il n'avait pas eu besoin d'un trait pareil pour se défier de M. de Bülow, mais que c'était une nouvelle leçon pour lui.“

pfindliche Tour sensible wäre. Dero Intention sei, dass Ew. Excellenz Dero guten Gebrauch davon machen und noch mehr Oel in das Feuer giessen möchten, mit der Insinuation, dass M. de La Touche und dessen Hof daraus sehen könnten, wie nöthig es sei, dass letzterer mit Sr. Königl. Majestät auf einen beständigen Fuss uni bliebe und den von andern artificieusen Höfen de part et d'autre geschehenden Insinuationen keinen Glauben beilegeten, sondern sich gegen einander darüber explicireten. Sonsten möchten Ew. Excellenz erwähntem M. de La Touche noch sagen, wie Se. Königl. Majestät der ihm von dem von Bülow geschehenen Imputation, davon letzthin noch der von Maltzahn aus Polen geschrieben, niemalen einigen Glauben gegeben und der Falschheit solcher Imputation um so mehr versichert gewesen wären, als Sie gewusst, dass M. de La Touche um solche Zeit nicht einmal einen Courier weggeschicket hätte.

Eichel.

Nach der Ausfertigung.