5660. AU PRINCE FERDINAND DE BRUNSWICK A POTSDAM.

<260>

Prinz Ferdinand von Braunschweig berichtet, Potsdam 5. November, über eine Mittheilung seines Bruders, des regierenden Herzogs von Braunschweig, folgenden Inhalts: „Je ne vous ai rien dit d'une réponse préalable que j'ai de Copenhague,259-1 parcequ'on m'a promis de me donner des éclaircissements. On me barque par avance d'une joie infinie sur ta sentiments de Sa Majesté du Roi votre Maître envers Sa Majesté Danoise et on déclare de vouloir faire tout son possible pour les mériter. On dit en gros qu'on attrait ordre aux abus et inconvénients dont l'affaire de Bentînck ne donnait que trop de preuves, et on promet de s'expliquer ultérieurement.“

Potsdam, 6 novembre 1752.

Monsieur mon Cousin. Je vous sais tout le gré imaginable de ce que vous avez bien voulu me communiquer des nouvelles que le Duc régnant, M. votre frère, a eues en dernier lieu de Copenhague, et vous prie de vouloir l'assurer de ma reconnaissance sans égale de ce qu'il embrasse aussi aimablement qu'il le fait, tout ce qui peut avoir du rapport à mes intérêts et au bien commun de la bonne cause.

Au surplus, vous connaissez la sincérité des sentiments avec lesquels je suis toujours, Monsieur mon Cousin etc.

Federic.

Nach dem Concept.



259-1 Vergl. S. 220. 232.