<126> Häseler über die mit dem kopenhagener Hofe einzuleitende Unterhandlung:1 … [The King of Prussia] approves of the plan laid down and will give directions to his minister to begin by insinuating to the court of Denmark the danger to religion and to the liberties of the Empire, from the association that is now forming of the Catholic princes, giving them to understand at the same time that this alliance2 is meant to preserve things in the situation they are and ought to be in by the constitution of the Empire, without any intention of making innovations of any sort.

…The King of Prussia desires me to write to Mr. Titley by his minister, in order to bring them together in a friendly way …

Mitchell berichtet an Holdernesse, Berlin 30. Juli (particular): „, …The King of Prussia tells me that the French intend to push the Dutch to accede to the maritime union with Sweden and Denmark,3 but it is hoped that the measure His Majesty has lately taken of releasing their ships,4 will effectually disappoint this attempt …“

Mitchell übersendet mit dem gleichen Bericht die Copie einer Relation Hellen's, Haag 18. Juli.5


Nach den Ausfertigungen im Public Record Office zu London. Das „Memoire“ nach der eigenhändigen Ausfertigung im British Museum zu London,



1 Die Vorschläge Häseler*s gingen, nach dem Bericht Mitchell's, dahin: „That the negociation at the court of Denmark should be begun by the King of Prussia, taken up afterwards and seconded by His Majesty … If the Danes can once be persuaded of the danger to religion and to the liberties of the Empire, he thinks they will come into a provisional treaty for the defence of both, that no more should be asked of them at first, for fear of exciting their jealousy; that, this once obtained, they might be brought afterwards to greater lengths … that no mention should be made [at first] of subsidy the persons to be applied to at the court of Denmark, are the grand-master Moltke (vergl. S. 103), who should take the lead, Monsieur de Bernstorff, Monsieur de Berckentin and Monsieur Dehn, all zealous in matters of religion as the King himself is likewise, without however being superstitious (vergl, Bd. XII, 409),

2 Zwischen Dänemark und England.

3 Vergl. Bd. XII, 502.

4 Vergl. S. 99.

5 Hellen giebt in seinem Bericht vom 18. Juli weitere Mittheilungen aus dem Berichte Swart's, Petersburg 19. Juni (vergl. S. 116). Hellen nennt die verschiedenen französischen Diplomaten, welche man nach der Meldung Swart's für den Gesandtschaftsposten in Petersburg in Betracht gezogen habe (vergl. S. 112), und fährt dann fort: [Le sieur Swart] allègue, comme un échantillon de la prétendue politique profonde [des Russes], qu'ils prévoient que, dans la guerre qu'ils se proposent de faire avec la cour de Vienne à Votre Majesté, la France, qui, selon eux, ne peut avoir sincèrement envie que la maison d'Autriche devienne plus puissante aux dépens de Votre Majesté, L'assistera, pour se L'attirer dans ses intérêts; que cette conduite la brouillera bientôt avec la cour de Vienne; que l'Angleterre, jalouse de cette assistance, se détachera de son côté de Votre Majesté; que, si cela lui convient, l'impératrice de Russsie aura un bon prétexte de rompre alors les liaisons qu'elle compte de faire aujourd'hui avec la France; qu'elle pourra faire bien ses conditions avec l'Angleterre et se stipuler de gros subsides, et que tout rentrera alor; dans l'ancien système. Voilà comme ils se proposent de duper tout le monde par leur politique raffinée; que, dans le moment présent, ils ont le dessein d'augmenter leurs troupes sur la frontière, croyant faire accroire par là à l'Angleterre que cette armée sera à sa disposition et qu'ils resteront fidèles à leurs engagements. J'ai découvert que c'est le sieur Peetöf ou Peeteew, commis du Vice-chancelier, qui a passé ici incognito, et non pas le sieur Wesselowski (vergl. S. 95); et comme celui-ci doit être un homme fort décrépit et d'ailleurs originairement juif, je soupçonne que c'est le premier qui est chargé d'une commission à la cour de France, d'autant qu'il est 1 homme de confiance du comte de Woronzow, dont il doit avoir remis une dépêche au comte de Golowkin, chez qui il a dîné en passant ici.