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vouer que ce pourrait bien être Votre Majesté.“

nicht neuen Lärm zu bekommen und sich noch mehrere Unruhen zuzuziehen.“

Mardefeld sei zu instruiren, „wie er Gelegenheit nehmen sollte, den Graf Woronzow einmal, doch gar nicht als ob er Ordre dazu habe, sondern nur als einen von ohngefähr ihm eingekommenen Gedanken, den er gleichsam nur hinwürfe, zu sondiren, ob nicht der in Russland befindliche Prinz von Homburg einen Candidaten der polnischen Kron abgeben könnte und von Russland sich Appui versprechen dörfte, wenn über kurz oder lang der polnische Thron sich eröffnete und die Polen seinen aus ihrer Nation wählen wollten. Indem gedachter Prinz denen Polen vielleicht angenehm sein könnte, den Russen attachiret wäre und dem Hause Preussen nicht aufstössig sein würde.“

Eichel.

Auszug aus der Ausfertigung.


1821. AU ROI DE FRANCE A VERSAILLES.

Quartier de Camenz, 2 mai 1745.

Monsieur mon Frère. Depuis que je suis arrivé dans cette province, je n'ai discontinué de faire des arrangements pour la campagne prochaine; tout était déjà réglé, il y a un mois, lorsque la déclaration les Saxons a tout changé. Votre Majesté sera sans doute informée de a façon indécente dont le comte Brühl s'est expliqué envers M. de Saint-Séverin sur mon sujet, et que je dois regarder la rupture de la saxe comme une chose infaillible. Dans ces circonstances, ce n'est pas à moi à faire des avances à des gens, certainement, que je ne crains :n aucune façon, et que je me flatte à réduire au point de regretter a démarche inconsidéree qu'ils ont faite. On est en France dans l'opinion que l'on pourra empêcher le Grand-Duc de parvenir à la couronne mpériale; M. de Loss a adroitement profité de cette disposition, et, par un certain enchantement, il peint aux yeux des Français sa cour avec des couleurs tout opposées à celle de la vérité. De là vient cette prédilection pour le roi de Pologne qui me veut faire la guerre, en haine le l'assistance que j'ai donnée à l'Empereur défunt et à la France, et qui se serait déjà déclaré contre cette dernière, si mon voisinage ne l'avait etenu dans les bornes d'une modération involontaire. Il s'agit de savoir à présent, à la veille d'une nouvelle guerre, si Votre Majesté Se déclarera jour un prince qui donne des auxiliaires aux ennemis de la France, ou jour celui dont la diversion dégagea l'Alsace; si Votre Majesté préfère es ruses d'un ennemi artificieux et caché à la candeur d'un ami sincère, lui a tiré sur lui tout le fardeau de la guerre, et dont les provinces ne sont ravagées actuellement que pour procurer les douceurs de la tranquillité aux sujets qui vivent sous la domination française; si, enfin, a justice, la foi et la générosité de Votre Majesté pourraient consentir à