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court pourrait lier une pareille conversa, tion. Je ne sais si Votre Majesté jugera à propos que je parle encore une fois à ce ministre; après tout ce qu'il m'a dit, je n'oserais me flatter de le faire changer de sentiment, et, si, du su de la Reine, j'ai une conversation avec lui, je ne pourrai plus m'empêcher de rendre compte à Sa Majesté de sa véritable façon de penser, au lieu que, jusqu'ici, je la lui ai cachée, disant que je n'avais pu venir à bout de faire expliquer l'Ambassadeur.“

Wrede eût de propos délibéré, en se servant des expressions indiquées par le comte Düben, tenu pareils discours sur mon sujet; je présume plutôt que, si le sénateur Wrede en a tant fait que de ne pas parler sur mon compte dans un sens toutà-fait favorable, il l'a fait néanmoins d'une manière bien différente, et qu'il se pourrait que Düben eût outré les expressions de ce sénateur, ou du moins qu'il les eût interprétées dans un sens entièrement différent. Mais, quoi qu'il en soit, la pureté de mes sentiments et de mes intentions pourra toujours me tranquilliser sur pareilles imputations controuvées.

Federic.

Nach dem Concept.


6616. AN DEN GENERALLIEUTENANT VON FOUQUÉ IN GLATZ.

Berlin, 25. Januar 1755.

Ich habe Euch zwar unter dem 25. November vorigen Jahres, als Ich Euch den schlesischen gemeinsamen Gouvernementschiffre zugesandt habe, geschrieben, wie dass, falls es zum Krieg kommen sollte, Ich Euch noch einen besonderen Chiffre zu einer immediaten Correspondance mit Mir Selbst zusenden würde. Nachdem Ich aber anderweitig resolviret, Euch solchen besonderen Chiffre zur immediaten Correspondance zwischen Mir und Euch, als Commandanten der Festung Glatz, nur sogleich jetzo zustellen zu lassen, als empfanget Ihr denselben hierbei, und recommandire Ich Euch zuforderst auf Pflicht und Ehre das grosseste Geheimniss davon, und dass Ihr wegen dessen alle diejenige Präcautiones nehmen und beständig observiren müsset, so Ich Euch in Meiner obangeführten Ordre wegen des gemeinschaftlichen Gouvernementschiffre vorgeschrieben habe. Demnächst Euch noch zur Nachricht und Achtung dienet, dass auch dieser immédiate Chiffre niemalen aus der Festung Glatz kommen, sondern bei dem Gouvernementsarchive sorgfaltigst verwahret und versiegelt gehalten werden muss, auf dass in Kriegeszeiten Ihr oder derjenige, so alsdenn in Glatz en chef commandiret, sich dessen alsdenn jedesmal nöthigenfalls zur immediaten Correspondance mit Mir bedienen müsse, sowie solches mit dem gemeinschaftlichen Gouvernementschiffre wegen derer anderen Commandanten derer schlesischen Festungen geschehen muss, welcher aber mit dem