<3>geben werden soll, dass das Odium davon nicht auf Frankreich, sondern allein auf den wienerschen Hof falle.1

Eichel.

Nach der Ausfertigung.


7636. AN DEN ETATSMINISTER GRAF FINCKENSTEIN IN BERLIN.

Finckenstein berichtet, Berlin 1. Juli: „En conséquence des très gracieux ordres de Votre Majesté,2 j'ai fait changer le mémoire touchant les différends de commerce avec la cour de Vienne, de façon que le précis de ce qui s'est passé à l'égard des dettes de Silésie, s'y trouve également renfermé. J'ai l'honneur de présenter à Votre Majesté ce nouveau mémoire ci-clos,3 et comme Son intention se borne pour le présent, selon ce qu'Elle me l'a fait savoir, à mettre la cour britannique au fait de ces affaires, je crois que le mémoire ci-joint suffira pour remplir Son but; mais si, avec le temps, Elle jugeait à propos d'informer le public de la conduite qu'Elle a tenue dans ces différends, aussi bien que de celle de la cour de Vienne, il sera nécessaire de faire dresser un autre mémoire plus détaillé, et dans lequel on entre davantage dans le fond de la matière. En ce cas, personne ne sera plus propre à rédiger un pareil mémoire que le président de Fürst,4 qui s'offre d'y mettre la main dès à présent, pour le tenir prêt à tout événement.“

Potsdam, 2. Juli 1756.

Recht gut. Inzwischen soll er an M. Mitchell dieses Memoire geben und ihm sagen, dass, weil der wienersche Hof jetzo alles gegen Mich zu remuiren suche und ausser Zweifel auch diese Sache auf einer faussen Seite zu repräsentiren sich, angelegen sein lassen würde, also er solches dem englischen Ministerio schicken möchte, damit de von der Sache au fait wären und nicht von denen Oesterreichern präveniret werden könnten.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.


7637. AN DEN ETATSMINISTER GRAF FINCKENSTEIN IN BERLIN.

Finckenstein berichtet, Berlin 1. Juli: „Quoique le comte de Puebla ne m'ait pas sonné le moindre mot des préparatifs de guerre de Votre Majesté,5 il me revient cependant de plusieurs endroits qu'il en témoigne la plus grande

Potsdam, 2. Juli 1756.

Se. Königl. Majestät haben befohlen, auf einliegenden Bericht von Ew. Excellenz zur mündlich allergnädigsten Resolution zu mel-



1 Demgemäss Ministerialerlass an Benoît, Berlin 3. Juli.

2 Vergl. Bd. XII, 438.

3 „Exposition sommaire des différends qui subsistent entre le Roi et la cour de Vienne, tant au sujet du commerce que par rapport aux dettes de Silésie.“

4 Vergl. Bd. XI, 386.

5 Vergl. S. 5. 16.