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pris en cette occasion dans Ses Etats; l'autre de prier très instamment Votre Majesté de vouloir bien entrer dans les arrangements qu'il était prêt de prendre avec Elle, n'ayant pas eu intention et ne prétendant pas non plus à l'avenir se mêler en aucune façon des différends qui régnaient entre Votre Majesté et l'Impératrice-Reine; que Sa Majesté Polonaise n'était entré, ni n'entrerait jamais avec cette Princesse dans aucuns engagements offensifs contre Votre Majesté, qu'ainsi elle se flattait qu'Elle voudrait bien prendre à son égard des mesures conformes au bon voisinage et aux nœuds d'amitié qui La liaient avec Votre Majesté.“

la suite qu'on avait forcé, les armes à la main, la cour de Saxe d'adopter la neutralité, il m'est ainsi impossible d'entrer dans des négociations là-dessus; mais je me vois obligé de poursuivre le plan que je me suis formé, sans m'en départir, de sorte qu'il n'y a plus à prendre le parti mitoyen.

Vous savez, du reste, que, quand la France a fait la guerre en Italie, elle s'est vu obligée de prendre de deux partis l'un, ou d'avoir la cour de Turin de son côté, ou de faire désarmer ses troupes.1 Et, sur ce, je prie Dieu etc.

Federic.

Nach der Ausfertigung.


7978. AN DEN GENERALLIEUTENANT HERZOG VON BRAUNSCHWEIG-BEVERN BEI KRAKAU.

Hauptquartier Strehla, 4. September 1756.

Durchlauchtiger Fürst, freundlich lieber Vetter. Ew. Liebden Schreiben aus Elsterwerda vom 3. dieses habe Ich wohl erhalten und bin von dem Einhalt dessen überall recht sehr zufrieden gewesen, indem von dem jetzigen Moment an Ich nunmehro Dero unterhabende Colonne sowohl, als die vom Generallieutenant von Lestwitz und Generalmajor von Meyerinck so rechne, als ob selbige schon wirklich beisammen wären. Im übrigen danke Ich Ew. Liebden vor die Attention, so Sie gehabt, den Generallieutenant von Lestwitz zu erinnern, mehrere und gute Nachrichten aus Böhmen zu bekommen. Ich bin Ew. Liebden freundwilliger Vetter

Morgen bin ich in Lommatzsch, übermorgen ins Lager hinter der Triebsche, eine kleine Meile von Wilsdruff.

Friderich.

Nach der Ausfertigung. Der Zusatz eigenhändig.


7979. AN DEN GENERALLIEUTENANT HERZOG VON BRAUNSCHWEIG-BEVERN BEI KRAKAU.

[Lommatzsch], 5. [September] 1756.

Die Nachrichten, so Sie mir schicken, confirmiren sich hiesiger Seiten auch. Morgen, als den 6., rechne ich, werden Sie alle zu-



1 Vergl. S. 294.