<36> sent situation which I have described in an other letter of this date,1 makes it unnecessary now to enter farther into that affair.

The motion of the King's troops has occasioned a great alarm ail over Germany, and count Puebla takes every opportunity to declare that there was no intention to attack him nor to disturb the public peace.2 But as the King has many enemies, he was justly apprehensive that his conduct might be misrepresented at he court of Petersburg. He therefore desired me to give Sir Charles Hanbury Williams a hint of his real intention, that what he has done, was meant for selfdefence only and not to offend anybody, that he had no design whatever against Russia, and he empowered me to say as from myself that he had always expressed himself in the most friendly manner with regard to the Empress of Russia, and that he wished there was more intercourse between their respective courts. I have accordingly wrote to Sir Charles Williams …“3

Nach der Ausfertigung im Public Record Office zu London.


7663. AN DEN ETATSMINISTER GRAF FINCKENSTEIN IN BERLIN.

Finckenstein berichtet, Berlin 5. Juli, nach dem eben eingelaufenen Berichte Plotho's, [d. d. Regensburg 28. Juni], dass der mit den Verhandlungen zur Herbeiführung eines Vergleichs zwischen Preussen und Mecklenburg4 betraute mecklenburgische Reichstagsgesandte Baron Teuffei Befehl erhalten habe, auf vier Wochen nach Wien zu gehen, zur Notification des Ablebens Herzog Christian Ludwig's.5 „Il m'a paru nécessaire, sur la réception de cet avis, de faire prier tout de suite le baron de Forstner pour se rendre chez moi, et de lui représenter que, le susdit départ du ministre mecklembourgeois formant un nouvel obstacle à la négociation de Ratisbonne, je me croyais en droit d'insister plus que jamais sur ce qu'elle fût transportée ici, puisque ce serait sans cela vouloir l'exposer volontairement à des longueurs infinies; que lui, le baron de Forstner, avait été témoin de la sincérité avec laquelle on en avait agi dans cette affaire, et de la manière gracieuse dont Votre Majesté S'était prêtée sur une simple déclaration verbale du Duc au relâchement de tous les sujets de Mecklembourg qui ont été arrêtés;6 que la moindre chose que Votre Majesté pouvait attendre en reconnaissance d'une pareille démarche, était que le Duc déférât, à son tour, à une demande qui ne tendait qu'à faciliter et à accélérer l'accommodement dont il s'agit; que le refus de cette demande ne pourrait que faire naître toutes sortes de soupçons et, entre autres, celui qu'on voulait consulter la cour de Vienne, pour en savoir de quelle manière et si on devait s'accommoder avec Votre Majesté; ce qui serait un procédé peu amiable pour Elle et peu conforme aux promesses qu'il m'avait données, et ouvertement contraire même à la déclaration du Duc son maître.“



1 Mitchell übersandte in einem Berichte, Berlin 9. Juli (secret), die ihm von Finckenstein gemachten Mittheilungen über die Vorgänge in Schweden. Vergl. Nr. 7657.

2 Vergl. S. 3. 4.

3 Mitchell übersendet mit diesem Bericht das „Memoire raisonné“ (Bd. XII, Nr. 7621) und die „Exposition sommaire des différends“ (vergl. Nr. 7636).

4 Vergl. Bd. XII, 485.

5 Vergl. Bd. XII, 397.

6 Vergl. S. 2; Bd. XII, 486.