<442> Maréchal, je crois en avoir [à faire] ici encore pour trois ou quatre jours. Je vous embrasse.

Federic.

Nach der Ausfertigung. Eigenhändig.


8100. AU FELD-MARÉCHAL DE KEITH A AUSSIG.

[Sedlitz], 23 [septembre 1756].

Le lieutenant Broker des gendarmes, qui retourne au régiment, vous apportera cette lettre. C'est pour vous avertir d'envoyer demain le lieutenant-colonel Priegnitz du régiment du prince Ferdinand à Peterswalde au prince de Bevern. Priegnitz a été longtemps commandant de Tetschen; il connaît l'endroit, et j'ai ordonné au prince de Bevern de détacher le bataillon de Grumbkow avec deux mortiers de ce côté-ci de l'Elbe pour bombarder ce château,1 au cas qu'il ne veuille pas se rendre. C'est de ce côté-ci que les batteries ont été faites l'année 44. Ainsi je crois qu'avec ce secours Manstein en viendra à bout après-demain, au cas qu'il n'en soit pas maître à présent. Mes nouvelles des Saxons sont qu'ils ont fait aujourd'hui leur dernière cuisson, ainsi qu'en portant les choses au plus loin, ils n'en ont plus qu'à 4 ou 5 jours. Je vous embrasse, mon cher Maréchal, et je vous donnerai ponctuellement des nouvelles de ce qui se passe ici. Adieu.

Federic.

Nach der Ausfertigung. Eigenhändig.


8101. AN DEN GENERALLIEUTENANT HERZOG VON BRAUNSCHWEIG-BEVERN.

[Sedlitz], 23. [September] 1756.

Mein lieber Prinz Bevern. Eben kriege ich Briefe von Manstein, dass Tetschen über ist;2 also haben Sie weder Grumbkow, noch die Mortiers nöthig dahin zu schicken, sondern dörfen Sie an nichts denken, als Ihren Marsch nach Aussig zu prosequiren. Ich embrassire Ihnen. 70 gefangene Oesterreicher haben wir gekriegt; nun müssen 3 Nohn dazu gesetzet werden, dann ist der Krieg aus. Ich hoffe, Ihnen bald gesund wieder zu sehen. Adieu.

Friderich.

Nach der Ausfertigung. Eigenhändig.


8102. AN DEN GENERALLIEUTENANT PRINZ MORITZ VON ANHALT-DESSAU IM LAGER BEI COTTA.

[Sedlitz], 23. [September 1756].

Sie können bei jetzigen Umständen der Armée und mir keine bessere Dienste thun, als denen Sachsen die Lebensmittel zu benehmen.



1 Vergl. S. 440.

2 Vergl. Nr. 8100.