1632. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.

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Podewils berichtet, Berlin 17. November: „Votre Majesté verra tant par la dépêche ci-jointe de Ses ministres à Grodno que par la copie de la lettre que le sieur de Wallenrodt m'a écrite, le piège qu'on leur a tendu, et qui est tourné heureusement pour nous à la plus grande confusion et à la honte de ses auteurs327-2, a qui, bien loin d'avoir réussi dans le but qu'ils s'étaient proposé dans cette affaire, ont la mortification d'en voir arriver tout le contraire. Il faut rendre la justice aux ministres de Votre Majesté à la Diète qu'Us se sont conduits, on ne saurait mieux, dans une chose aussi chatouilleuse que celle-là. Aussi ne manquera-t-on pas d'informer les autres ministres de Votre

Nachod, 29. November 1744.

Alles recht gut. Aber das sehe Ich wohl, dass was in der Sache gutes geschehen ist, durch den Grafen Saint-Séverin geschehen ist, von dem Meine Herren nur die Marionnettes gewesen und ohne welchen sie ihre Sachen schlecht gemachet haben würden. Man soll deshalb dem Comte de Saint-Séverin ein sehr obligeantes Compliment von Meinetwegen in einem ostensiblen Rescript machen. Sonsten agreire Ich, dass nach dem Vor-

Majesté aux cours étrangères et surtout le baron de Mardefeld de ce qui vient d'arriver, et dont les machiavélistes saxons sortiront, à ce que je me flatte, con tanto di naso.“

schlage des p. Wallenrodt eine species facti von dieser Sache in denen Zeitungen gesetzet werde.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.



327-2 Vergl. Preussische Staatsschriften I, 673.