2690. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.

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Podewils und Mardefeld berichten, Berlin 3. Juli: „Rudenschöld vient de nous représenter que sa cour souhaitait

Potsdam, 4. Juli 1747.

Das gehet nicht an, und Ich kann solches aus genugsam be-

fort et lui avait ordonné de faire de pressantes instances pour qu'il plût à Votre Majesté d'instruire et d'autoriser incessamment Son ministre en Suède de concourir à l'invitation de la France à l'accession du traité d'alliance sur le pied de partie contractante principale … puisque ce n'était qu'à cette condition-là que la France s'était engagée au payement des subsides pour dix ans, et qu'au défaut de cela elle ne voulait s'y obliger que pour trois années, ce qui ne suffisait point pour mettre la Suède à même de rétablir ses forces de mer et terre.“

„Rudenschöld nous a fait lire aussi des lettres de Stockholm où l'on lui marque de la surprise sur ce qu'on avait appris par les relations du baron de Hœpken, ministre de Suède à la cour de Danemark, que celui de Votre Majesté à Copenhague y avait fait à ceux de Danemark diverses insinuations relativement à l'alliance et aux conjonctures présentes.425-2 …Que sa cour était persuadée que Votre Majesté n'avait donné ces ordres, qu'à très bonne intention, mais qu'elle ne l'était pas moins de ce que toutes les insinuations et offres amiables qu'on prodigait aux Danois, au lieu de leur inspirer les sentiments qu'on souhaitait leur faire naître, produiraient un effet contraire et ne feraient que les rendre plus insolents et moins traitables.“

kannten soliden Ursachen425-1 nicht annehmen. Wollen sie in Schweden es vor sich thun, so muss Mir solches gefallen lassen; Ich vor Mein Theil aber refusire es ganz und gar und bleibe bei dem, so deshalb vorhin schon concertiret und verabredet worden, werde auch darunter nicht von Resolution changiren.

Man muss sie höflich bedeuten, sie könnten sich wohl einbilden, dass wir nichts thun würden, so zu ihrer Désavantage wäre oder ihnen préjudiciable sei. In den jetzigen Umständen, worin sie wären, glaubte Ich vielmehr, dass es ein Coup de parti sein würde, wenn man den dänischen Hof dahin bringen könnte, wiederum von der andern Partie gegen uns zu reviriren und mit uns in defensive Engagements zu treten.

Mündliche Resolutionen. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.



425-1 Vergl. S. 251.

425-2 Vergl. S. 413.