5772. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.

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Podewils und Finckenstein überreichen, Berlin 15. Februar, einen von La Touche mitgetheilten, an ihn gerichteten Erlass des Marquis de Saint-Contest [ohne Datum], „Il paraît par cette pièce que le ministère de Versailles n'est pas toutà-fait satisfait des dernières instructions du baron de Beckers.340-2 Il [Saint-Contest] prétend qu'elles n'auraient dû partir pour Vienne avant d'avoir demandé préalablement les conseils de Votre Majesté. Il trouve à redire que la cour de Manheim n'ait pas insisté sur le payement entier des 1,200,000 florins d'une seule fois,340-3 qu'elle a négligé les intérêts de l'électeur de Cologne et les conseils de ce Prince340-4

Potsdam, 16. Februar 1753.

Es ist Mir nicht lieb, dass der Churfürst von der Pfalz sich so betraget, dass Frankreich von dessen Conduite nicht content ist; Ich glaube aber, dass wenn ihm durch M. Vergennes stark zugesprochen wird, er sich noch wohl ravisiren werde.

Inzwischen sollen sie an Monsieur de La Touche sagen, dass Ich immer nöthig zu sein erachte, dass, auf den unverhofften Fall,

sur la nécessité du consentement unanime des Électeurs, qu'elle a gardé le silence sur la supposition de la clause de l'ancien projet par rapport au bon gré et a l'acquiescement de la France.“

dass der Churfürst uns echappire, man sich vorläufig concertire, was auf solchen Fall zu thun sei und wie man sich deshalb zu expliciren habe.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.



340-2 Vergl. S. 330.

340-3 Vergl. S. 284.

340-4 Vergl. S. 296.