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Das denen priegnitzschen und altmärkschen Landräthen1 widerfahrene Unglück thut Mir leid, inzwischen kann Ich denselben vor der Hand nicht helfen, bis die bewusste Convention2 zu Stande sein wird, da denn die Ursache ihres Enl6vements und Arrestes von selbst cessiren muss. Ich bin auch der festen Persuasion, dass alle unsere Sachen zurechte kommen sollen; jede Sache aber, wenn sie sonst gut gehen soll, muss ihre Zeit haben. Ich bin Ew. Liebden freundwilliger Vetter

Friderich.

Je ne suis pas encore sûr que tout3 Marschall marche; à mesure que je serai instruit, je dirigerai notre propre marche.

Nach der Ausfertigung im Kriegsarchiv des Königl. Grossen Generalstabs zu Berlin. Der Zusatz eigenhändig.


9431. A LA MARGRAVE DE BAIREUTH A BAIREUTH.

Eilenburg, 17 octobre 1757.

Ma très chère Sœur.4 A quoi sert la philosophie, si on ne l'emploie dans les moments désagréables de la vie? C'est alors, ma chère sœur, que le courage et la fermeté nous servent. Je suis à présent en mouvement, et puisque je m'y suis mis une fois, vous pouvez compter que je ne penserai au repos qu'à bonnes enseignes. Si l'outrage irrite les lâches, que fera-t-il sur les cœurs courageux? Je prévois que je ne pourrai vous écrire que dans six semaines; cela ne laisse pas de m'affliger; mais je vous supplie de vous tranquilliser pendant ces entrefaites et d'attendre avec patience le mois de décembre, sans ajouter foi aux nouvelles de Nuremberg et de l'Empire, qui toutes sont autrichiennes.5 Je suis fatigué comme un chien Le chiffre6 vous dira le reste.

Je vous embrasse de tout mon cœur, étant avec la plus parfaite tendresse, ma très chère sœur, votre fidèle frère et serviteur

Federic.

Nach der Ausfertigung. Eigenhändig.


9432. A LA MARGRAVE DE BAIREUTH A BALREUTH.

Eilenburg, 17 octobre7 [1757].

Il n'y a point de couronne, ma chère sœur, ni de trône que je voudrais acheter par une bassesse, et plutôt périr cent fois que d'en commettre une pendant ma vie!8 Puisque les Français sont si fiers, je



1 Mehrere preussische Landräthe waren von den Franzosen weggeführt und nach Celle gebracht worden, woselbst sie im königlichen Schloss in Arrest gehalten wurden.

2 Vergl. S. 418. 419.

3 Sic!

4 Vergl. zu dem Folgenden das Schreiben der Markgräfin vom 15. October 1757 in den Œuvres, Bd. 27. I, S. 308.

5 Vergl. S. 415.

6 Nr. 9432

7 Das Datum nach einem Vermerk von Eichel.

8 Die Markgräfin hatte in einem undatirten Schreiben den König dringend gebeten, einen bevollmächtigten Unterhändler mit bestimmten Friedensanträgen nach Paris zu senden. Vergl. S. 415.